Palmer Luckey a aidé au développement de plusieurs casques de réalité virtuelle, ainsi qu’aux plateformes de contenus qui permettent d’en profiter. La version commerciale de l’Oculus Rift, celle destinée au grand public (les précédentes déclinaisons étaient proposées uniquement aux développeurs), a été commercialisée il y a un an. Grâce à Facebook et à ses moyens pratiquement illimités, Oculus a pu avancer très rapidement, mais c’est bien Palmer Luckey qui a porté l’entreprise et sa technologie sur ses épaules avant de rencontrer un succès d’estime.
Facebook ne donne pas la raison du départ du fondateur d’Oculus. La déclaration du réseau social se contente de saluer l’ex-employé, dont « l’héritage s’étend au-delà d’Oculus ». De la même manière, on ignore les projets de Luckey qui, à 24 ans seulement, a déjà accumulé une grosse expérience et peut envisager de se lancer dans un autre domaine.
Il n’en demeure pas moins qu’il y a une odeur de souffre autour de Palmer Luckey, qui a financé et participé à un groupe de pression pro-Trump durant l’élection présidentielle américaine. Il s’en est excusé et depuis septembre dernier, il garde le silence, tentant peut-être de se faire un peu oublier. Quoi qu’il en soit, il restera le visage derrière les casques de réalité virtuelle.
Facebook ne donne pas la raison du départ du fondateur d’Oculus. La déclaration du réseau social se contente de saluer l’ex-employé, dont « l’héritage s’étend au-delà d’Oculus ». De la même manière, on ignore les projets de Luckey qui, à 24 ans seulement, a déjà accumulé une grosse expérience et peut envisager de se lancer dans un autre domaine.
Il n’en demeure pas moins qu’il y a une odeur de souffre autour de Palmer Luckey, qui a financé et participé à un groupe de pression pro-Trump durant l’élection présidentielle américaine. Il s’en est excusé et depuis septembre dernier, il garde le silence, tentant peut-être de se faire un peu oublier. Quoi qu’il en soit, il restera le visage derrière les casques de réalité virtuelle.