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L’absentéisme s’est nettement accru depuis le début de la crise financière et économique, déplore-t-on majoritairement dans les entreprises. La moitié estime donc que l’absence de collaborateurs a fortement progressé, ou est en augmentation modérée sur la période visée. Moins de 20% d’entre elles estiment avoir réussi à faire reculer l’absentéisme chez ses salariés.
Le bilan n’est pas particulièrement glorieux, et il pèse sur les résultats des entreprises. En 2013, d’après les calculs du cabinet Alma Consulting, le coût de l’absentéisme s’est monté à 8,83 milliards d’euros, pratiquement deux milliards de plus que l’année précédente. Il faut bien remplacer les collaborateurs qui ne sont pas là, ce qui occasionne des embauches à temps partiel.
Les mesures prises par les entreprises pour lutter contre l’absentéisme sont majoritairement offensives ; ainsi, 58% des sociétés utilisent l’arme de la contre-visite médicale, et 57% l’entretien de retour. La communication et la formation peuvent être des solutions à plus long terme pour limiter l’absentéisme.
Le bilan n’est pas particulièrement glorieux, et il pèse sur les résultats des entreprises. En 2013, d’après les calculs du cabinet Alma Consulting, le coût de l’absentéisme s’est monté à 8,83 milliards d’euros, pratiquement deux milliards de plus que l’année précédente. Il faut bien remplacer les collaborateurs qui ne sont pas là, ce qui occasionne des embauches à temps partiel.
Les mesures prises par les entreprises pour lutter contre l’absentéisme sont majoritairement offensives ; ainsi, 58% des sociétés utilisent l’arme de la contre-visite médicale, et 57% l’entretien de retour. La communication et la formation peuvent être des solutions à plus long terme pour limiter l’absentéisme.