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Avec une hausse de leur pouvoir d’achat de 1,1% en 2014, les Français ont pu consommer plus dans les commerces de détail. Une aubaine pour un secteur qui a connu des années 2012 et 2013 difficiles, entre stagnation et recul des ventes… La croissance globale de la consommation (+0,6%) a ainsi profité en majorité aux commerçants.
La croissance en volume, qui s’est donc établie à +0,8%, a profité tout particulièrement à la vente à distance (+2%) et aux magasins de produits non alimentaires (+1,9%). Parmi ces derniers, les boutiques d’équipement télécoms ont largement fait le plein de consommateurs avec une croissance des ventes de 8,6% — ce secteur d’activité a continué à profiter à plein de la guerre des prix chez les opérateurs téléphoniques.
Mais tout le monde n’est pas logé à la même enseigne. Ainsi, les magasins à dominante alimentaire ont vu leurs ventes baisser de 0,3%, un recul imputable aux grandes surfaces. Globalement, en termes de volume, le secteur du commerce de détail a tout de même connu une belle année 2014. En revanche, en valeur, c’est à dire au niveau du chiffre d’affaires, c’est une baisse de 0,4% à 492 milliards d’euros. Il faut dire que les prix de certains produits ont baissé sous le coup d’une inflation basse ou en recul.
La croissance en volume, qui s’est donc établie à +0,8%, a profité tout particulièrement à la vente à distance (+2%) et aux magasins de produits non alimentaires (+1,9%). Parmi ces derniers, les boutiques d’équipement télécoms ont largement fait le plein de consommateurs avec une croissance des ventes de 8,6% — ce secteur d’activité a continué à profiter à plein de la guerre des prix chez les opérateurs téléphoniques.
Mais tout le monde n’est pas logé à la même enseigne. Ainsi, les magasins à dominante alimentaire ont vu leurs ventes baisser de 0,3%, un recul imputable aux grandes surfaces. Globalement, en termes de volume, le secteur du commerce de détail a tout de même connu une belle année 2014. En revanche, en valeur, c’est à dire au niveau du chiffre d’affaires, c’est une baisse de 0,4% à 492 milliards d’euros. Il faut dire que les prix de certains produits ont baissé sous le coup d’une inflation basse ou en recul.