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Ce rapport propose 25 pistes visant à pousser l’engagement citoyen des jeunes, dont une en particulier est intéressante : elle consiste en effet à valoriser l’expérience acquise au sein d’une structure bénévole. Mais pour prétendre à une expertise acquise dans une association, encore faut-il encore pouvoir prendre du temps sur ses études.
France Stratégies propose donc de favoriser l’accès à une année de « césure » dans les établissements publics d’enseignement supérieur. Durant cette année, les étudiants conserveraient leurs couvertures sociales ainsi que leurs inscriptions. Ce type de césure est déjà pratiqué dans les grandes écoles ou à l’université, mais il s’agit d’aller plus loin encore, avec la mise en place d’un statut spécifique — le rapport évoque une dispense partielle d’assiduité, par exemple.
Les crédits aux étudiants bénévoles pourraient aussi être étendus, comme cela se déroule déjà chez plusieurs écoles. L’association pourrait également fournir une attestation de bénévolat qui, incluse dans le dossier de candidatures aux concours ou durant une embauche, serait un plus pour le candidat.
Le ministre Patrick Kanner s’est déclaré satisfait par ces propositions qui, espérons-le, ne seront pas remisées dans un placard. Elles nourriront en tout cas les « réflexions » du gouvernement jusqu’à la fin du quinquennat.
France Stratégies propose donc de favoriser l’accès à une année de « césure » dans les établissements publics d’enseignement supérieur. Durant cette année, les étudiants conserveraient leurs couvertures sociales ainsi que leurs inscriptions. Ce type de césure est déjà pratiqué dans les grandes écoles ou à l’université, mais il s’agit d’aller plus loin encore, avec la mise en place d’un statut spécifique — le rapport évoque une dispense partielle d’assiduité, par exemple.
Les crédits aux étudiants bénévoles pourraient aussi être étendus, comme cela se déroule déjà chez plusieurs écoles. L’association pourrait également fournir une attestation de bénévolat qui, incluse dans le dossier de candidatures aux concours ou durant une embauche, serait un plus pour le candidat.
Le ministre Patrick Kanner s’est déclaré satisfait par ces propositions qui, espérons-le, ne seront pas remisées dans un placard. Elles nourriront en tout cas les « réflexions » du gouvernement jusqu’à la fin du quinquennat.
