Le BPM occupe aujourd’hui une place centrale dans la démarche de qualité des entreprises. Ce concept désigne en effet la démarche de perfectionnement continu de l’ensemble des processus de l’entreprise à des fins de meilleures performances et notamment de meilleure satisfaction du client. La logique du BPM est une logique cyclique. Elle part de la conception d’un processus, en passant par son exécution et le contrôle de son déroulement pour finalement déboucher sur son optimisation voire même sa redéfinition s’il s’avère que ce processus n’est pas ou plus satisfaisant.
Dans cette optique, réaliser une cartographie de ces processus afin d’avoir une image claire de leur dynamique constitue donc la première étape de la mise en place d’une telle démarche. La classification des processus dans le cadre d’une initiative de BPM procède généralement de leur distinction en trois catégories : la première désigne les processus de pilotage et de décision à proprement parler, la seconde renvoie aux métiers de l’entreprise et aux processus opérationnels, la dernière enfin regroupe les processus de supports soit toutes les fonctions nécessaires à l’exercice des métiers de l’entreprise.
Technique de gestion résolument orientée vers le client, le BPM repose sur la mesure objective des dysfonctionnements et de l’impact des changements opérés pour les résoudre. Il implique l’ensemble de l’entreprise et de ses collaborateurs dans la recherche et la mise en œuvre de nouvelle solution pour la qualité. Chaque collaborateur est en effet impliqué dans l’exécution du BPM et particulièrement dans la mise en œuvre et le contrôle des processus.
Les progrès techniques des suites de logiciels dédiés à cette gestion fine des processus offrent de plus en plus de possibilités aux entreprises. Le BPM permet ainsi aujourd’hui d’automatiser la gestion des revenus d’offres, les transactions financières, et de manière plus générale le traitement documentaire de l’ensemble de l’entreprise. Il remplace ainsi progressivement dans les entreprises les systèmes de gestion électroniques de document.
Témoin du passage d’une gestion de la qualité articulée autour des documents à celle orientée vers les processus, le BPM est une méthode résolument novatrice pour les professionnels de la gestion. En tant qu’outils, il est porteur de gain de qualité et de productivité non négligeable dont la portée peut être amplifiée s’il est utilisé en synergie avec d’autres outils informatiques de gestion intégrée. Approche dynamique du management de la qualité, le BPM repose toutefois sur un engagement et une participation de toute l’entreprise. Le défi de sa mise en place réside donc dans la capacité à mobiliser les collaborateurs autour d’un projet ambitieux tel que celui-ci.
Dans cette optique, réaliser une cartographie de ces processus afin d’avoir une image claire de leur dynamique constitue donc la première étape de la mise en place d’une telle démarche. La classification des processus dans le cadre d’une initiative de BPM procède généralement de leur distinction en trois catégories : la première désigne les processus de pilotage et de décision à proprement parler, la seconde renvoie aux métiers de l’entreprise et aux processus opérationnels, la dernière enfin regroupe les processus de supports soit toutes les fonctions nécessaires à l’exercice des métiers de l’entreprise.
Technique de gestion résolument orientée vers le client, le BPM repose sur la mesure objective des dysfonctionnements et de l’impact des changements opérés pour les résoudre. Il implique l’ensemble de l’entreprise et de ses collaborateurs dans la recherche et la mise en œuvre de nouvelle solution pour la qualité. Chaque collaborateur est en effet impliqué dans l’exécution du BPM et particulièrement dans la mise en œuvre et le contrôle des processus.
Les progrès techniques des suites de logiciels dédiés à cette gestion fine des processus offrent de plus en plus de possibilités aux entreprises. Le BPM permet ainsi aujourd’hui d’automatiser la gestion des revenus d’offres, les transactions financières, et de manière plus générale le traitement documentaire de l’ensemble de l’entreprise. Il remplace ainsi progressivement dans les entreprises les systèmes de gestion électroniques de document.
Témoin du passage d’une gestion de la qualité articulée autour des documents à celle orientée vers les processus, le BPM est une méthode résolument novatrice pour les professionnels de la gestion. En tant qu’outils, il est porteur de gain de qualité et de productivité non négligeable dont la portée peut être amplifiée s’il est utilisé en synergie avec d’autres outils informatiques de gestion intégrée. Approche dynamique du management de la qualité, le BPM repose toutefois sur un engagement et une participation de toute l’entreprise. Le défi de sa mise en place réside donc dans la capacité à mobiliser les collaborateurs autour d’un projet ambitieux tel que celui-ci.