Un sondage réalisé par YouGov pour Marco Vasco montre que 73% des Français parlent politique sur le lieu de travail. Le sujet est sensible et habituellement, on évite d'en parler afin de ne pas se « braquer » avec des collègues qui auraient une sensibilité différente. Mais la campagne étant particulièrement intense (et cela ne devrait pas se calmer), elle déborde volontiers dans l'entreprise.
Et quand on parle politique, on est aussi sérieux que possible ! 68% des personnes interrogées ne se disent pas prêtes à mentir sur ce sujet. Pas question de mettre un mouchoir sur ses convictions, en quelque sorte. Il reste 19% de jeunes qui mentiraient pour obtenir une augmentation ! Plus d'un homme sur dix (12%) se dit prêt à dissimuler sa véritable opinion pour mieux se faire accepter de ses collègues.
La politique, c'est donc quelque chose pour lesquelles les convictions l'emportent (généralement) sur l'apparence et la bonne tenue dans l'entreprise. Et cela peut aller assez loin : d'après ce sondage, un quart des Français jugerait négativement un collègue qui voterait Front National. Chez les salariés de 18 à 44 ans, ils sont même un tiers qui estiment que leurs relations professionnelles seraient affectées en cas de vote d'un collègue pour le parti d'extrême-droite.
Et quand on parle politique, on est aussi sérieux que possible ! 68% des personnes interrogées ne se disent pas prêtes à mentir sur ce sujet. Pas question de mettre un mouchoir sur ses convictions, en quelque sorte. Il reste 19% de jeunes qui mentiraient pour obtenir une augmentation ! Plus d'un homme sur dix (12%) se dit prêt à dissimuler sa véritable opinion pour mieux se faire accepter de ses collègues.
La politique, c'est donc quelque chose pour lesquelles les convictions l'emportent (généralement) sur l'apparence et la bonne tenue dans l'entreprise. Et cela peut aller assez loin : d'après ce sondage, un quart des Français jugerait négativement un collègue qui voterait Front National. Chez les salariés de 18 à 44 ans, ils sont même un tiers qui estiment que leurs relations professionnelles seraient affectées en cas de vote d'un collègue pour le parti d'extrême-droite.