Une étude de Cadremploi montre que l’anglais reste, de loin, la langue étrangère la plus plébiscitée parmi les cadres interrogés (à 99%), suivi par l’espagnol, l’allemand puis l’italien. 86% des cadres ont déjà eu à manier une langue étrangère au travail ; mais 36% d’entre eux admettent posséder des compétences « limitées » en la matière, et pour la moitié des personnes interrogées, ces lacunes peuvent avoir un impact négatif sur leur carrière.
Près de 70% des cadres ont renoncé à une offre d’emploi qui exigeait un bon niveau dans une langue étrangère. Pour 80% d’entre eux, un entretien dans une autre langue que la leur sera une épreuve très difficile, ils estiment en effet être peu préparés pour ce genre d’examen.
35% des cadres estiment que leur niveau en anglais est « opérationnel », c’est à dire qu’ils peuvent tenir une discussion et possèdent un niveau de vocabulaire suffisant dans leur domaine de compétences. S’il leur est difficile de joindre une conversation en anglais (un exercice délicat pour 45% des personnes), il est plus facile de rédiger un mail dans la langue de Shakespeare. Comment faire pour améliorer cette situation ? La solution réside dans la formation, mais six cadres sur dix estiment qu’ils sont mal informés sur les offres de formation de leurs entreprises.
Près de 70% des cadres ont renoncé à une offre d’emploi qui exigeait un bon niveau dans une langue étrangère. Pour 80% d’entre eux, un entretien dans une autre langue que la leur sera une épreuve très difficile, ils estiment en effet être peu préparés pour ce genre d’examen.
35% des cadres estiment que leur niveau en anglais est « opérationnel », c’est à dire qu’ils peuvent tenir une discussion et possèdent un niveau de vocabulaire suffisant dans leur domaine de compétences. S’il leur est difficile de joindre une conversation en anglais (un exercice délicat pour 45% des personnes), il est plus facile de rédiger un mail dans la langue de Shakespeare. Comment faire pour améliorer cette situation ? La solution réside dans la formation, mais six cadres sur dix estiment qu’ils sont mal informés sur les offres de formation de leurs entreprises.