Dans un billet publié sur Tumblr (une propriété de Yahoo), Marissa Mayer écrit qu'elle renonce à sa prime annuelle et à son attribution annuelle d'actions. En cause : le piratage massif qui s'est déroulé en 2014 et qui a touché plus de 500 millions de comptes utilisateurs. Ces derniers n'ont cependant été prévenus qu'à la fin du mois de septembre 2016. En fin d'année dernière, le groupe admettait un autre piratage de ses serveurs, intervenu en 2013 et qui a frappé un milliard de comptes !
Des manquements graves à la sécurité et à l'information des internautes utilisateurs des services de Yahoo donc, qui se sont déroulés sous la responsabilité de Marissa Mayer. Son bonus annuel, dont le montant n'a pas été révélé, sera redistribué aux salariés du groupe. Cela devrait représenter une somme de deux millions de dollars, le double de son salaire annuel. La dirigeante fait également une croix sur une attribution d'actions qui correspondait à 12 millions de dollars.
Marissa Mayer n'a cependant pas à craindre pour ses vieux jours : depuis 2012 et son arrivée à la tête de Yahoo, elle a accumulé 162 millions de dollars. Toutefois, les affaires de piratage plombent l'équipe dirigeante de l'entreprise, qui a dû accepter une ristourne de 350 millions sur l'offre d'acquisition par l'opérateur américain Verizon. Il paiera 4,5 milliards pour acheter les activités internet du groupe.
Des manquements graves à la sécurité et à l'information des internautes utilisateurs des services de Yahoo donc, qui se sont déroulés sous la responsabilité de Marissa Mayer. Son bonus annuel, dont le montant n'a pas été révélé, sera redistribué aux salariés du groupe. Cela devrait représenter une somme de deux millions de dollars, le double de son salaire annuel. La dirigeante fait également une croix sur une attribution d'actions qui correspondait à 12 millions de dollars.
Marissa Mayer n'a cependant pas à craindre pour ses vieux jours : depuis 2012 et son arrivée à la tête de Yahoo, elle a accumulé 162 millions de dollars. Toutefois, les affaires de piratage plombent l'équipe dirigeante de l'entreprise, qui a dû accepter une ristourne de 350 millions sur l'offre d'acquisition par l'opérateur américain Verizon. Il paiera 4,5 milliards pour acheter les activités internet du groupe.