LVMH : un départ de la DRH orchestré après une enquête interne
Chantal Gaemperle a été mise à pied après une enquête interne approfondie, menée par l’administration générale et les affaires juridiques du groupe. Cette enquête, qui a duré plusieurs mois, s’est concentrée sur le cumul des avantages en nature que Chantal Gaemperle et d'autres cadres recevaient des 75 maisons de LVMH, comprenant des marques emblématiques telles que Louis Vuitton, Dior et Moët Hennessy. Selon des sources proches du dossier, la décision a été radicale, Chantal Gaemperle ayant été escortée par des agents de sécurité hors du siège de LVMH situé au 22 avenue Montaigne.
Selon des sources citées par le média spécialisé Miss Tweed et La Lettre, le départ de Chantal Gaemperle s’inscrit dans une lutte de pouvoir interne où les héritiers de Bernard Arnault auraient joué un rôle clé. Depuis plusieurs mois, les enfants du PDG, qui occupent des postes stratégiques au sein du groupe, semblent renforcer leur influence sur les décisions majeures, notamment en matière de gestion des ressources humaines et de direction stratégique. En parallèle, d'autres remaniements internes ont eu lieu, comme le licenciement de la responsable des ressources humaines d'une division dirigée par Stéphane Rinderknech. Cette dernière aurait été mise à l’écart suite à des tensions liées à des perceptions défavorables sur son travail.
Selon des sources citées par le média spécialisé Miss Tweed et La Lettre, le départ de Chantal Gaemperle s’inscrit dans une lutte de pouvoir interne où les héritiers de Bernard Arnault auraient joué un rôle clé. Depuis plusieurs mois, les enfants du PDG, qui occupent des postes stratégiques au sein du groupe, semblent renforcer leur influence sur les décisions majeures, notamment en matière de gestion des ressources humaines et de direction stratégique. En parallèle, d'autres remaniements internes ont eu lieu, comme le licenciement de la responsable des ressources humaines d'une division dirigée par Stéphane Rinderknech. Cette dernière aurait été mise à l’écart suite à des tensions liées à des perceptions défavorables sur son travail.
Un climat de remaniement dans la gouvernance de LVMH
La mise à pied de Chantal Gaemperle n’est pas un cas isolé. Elle fait suite à d'autres départs notables au sein de LVMH, tels que celui de Philippe Schaus, ancien directeur de la division vins et spiritueux, et de Chris de Lapuente, ancien PDG de la division « distribution sélective ».
De son côté, Cécile Cabanis, récemment nommée directrice financière adjointe, est pressentie pour succéder à l'actuel directeur financier Jean-Jacques Guiony. Ces mouvements montrent la volonté de Bernard Arnault de renouveler et de dynamiser l'équipe dirigeante, afin de maintenir la position dominante de LVMH dans le secteur du luxe.
De son côté, Cécile Cabanis, récemment nommée directrice financière adjointe, est pressentie pour succéder à l'actuel directeur financier Jean-Jacques Guiony. Ces mouvements montrent la volonté de Bernard Arnault de renouveler et de dynamiser l'équipe dirigeante, afin de maintenir la position dominante de LVMH dans le secteur du luxe.