Deux fois moins de salariés que de dirigeants estiment le management de leur entreprise innovant
Interrogés sur les types d’innovation auxquels ils accordent la priorité dans leur entreprise, seuls 15% des dirigeants ont déclaré que c’était l’innovation managériale. 18% des dirigeants ont déclaré privilégier l’innovation opérationnelle, tandis que 27% ont déclaré se concentrer sur l’innovation produit, et autant ont énoncé leur préférence pour l’innovation technologique avant tout. Autre enseignement de cette enquête : alors que 63% des dirigeants estiment que le management de leur entreprise est innovant, seuls 29% des salariés partagent cet avis.
Et ce n’est pas étonnant, puisque à l’exception du management par objectif (60%) et de l’espace de discussion (50%), les innovations managériales sont peu connues des dirigeants. Moins d’un quart des dirigeants connaissent de telles innovations managériales que l’équipe auto-gérée, l’évaluation par les pairs, la cooptation pour devenir manager, les méthodes agiles, l’incubateur spin-off, le chief happiness officer, le design thinking ou encore l’holacratie.
Et ce n’est pas étonnant, puisque à l’exception du management par objectif (60%) et de l’espace de discussion (50%), les innovations managériales sont peu connues des dirigeants. Moins d’un quart des dirigeants connaissent de telles innovations managériales que l’équipe auto-gérée, l’évaluation par les pairs, la cooptation pour devenir manager, les méthodes agiles, l’incubateur spin-off, le chief happiness officer, le design thinking ou encore l’holacratie.
Pour 4 dirigeants sur 5, innovations managériales sont dans l’intérêt des salariés
Et même si dans les faits, la connaissance et la mise en pratique des innovations managériales laissent à désirer, 84% des dirigeants pensent que les innovations managériales sont un dispositif qui favorise le bien-être des salariés, et 75% pensent qu’elles favorisent la performance économique, révèle l’enquête.
S’agissant de l’engagement des équipes, 56% les dirigeants estiment qu’une plus grande implication dans la prise de décision pourrait stimuler l’engagement des managers intermédiaires, mais seuls 43% estiment que c’est le cas pour les salariés. En revanche, 73% des dirigeants s’accordent pour dire que les salariés ont besoin d’une plus grande reconnaissance au quotidien… tandis que seuls 48% estiment qu’elle bénéficierait aux managers intermédiaires.
S’agissant de l’engagement des équipes, 56% les dirigeants estiment qu’une plus grande implication dans la prise de décision pourrait stimuler l’engagement des managers intermédiaires, mais seuls 43% estiment que c’est le cas pour les salariés. En revanche, 73% des dirigeants s’accordent pour dire que les salariés ont besoin d’une plus grande reconnaissance au quotidien… tandis que seuls 48% estiment qu’elle bénéficierait aux managers intermédiaires.