900 emplois détruits, ce n'est pas grand chose, mais ce n'est pas non plus ce que la conjoncture laissait deviner. Les chiffres sont en dents de scie depuis le début de l'année ; ai premier trimestre, l'économie française détruisait 6 800 emplois, pour en créer 28 400 le trimestre suivant… On pourra se rassurer en consultant l'ensemble de l'année, où le bilan est positif avec 37 600 postes créés.
Deux secteurs d'activité sont particulièrement en difficulté. L'industrie d'abord, qui accuse un nouveau trimestre de destruction d'emplois, le… 58e d'affilée ! Le troisième trimestre n'a pas dérogé à la règle avec 14 600 emplois détruits. Le secteur de la construction ensuite, qui accuse 10 200 destructions d'emplois — une baisse encore, pour 14e trimestre à suivre.
C'est le secteur des services qui permet d'afficher un résultat proche de la stabilité : 23 900 emplois créés au troisième trimestre. L'Insee explique toutefois que la cadence à laquelle le secteur tertiaire créé des emplois ralentit, ce qui n'est pas de bon augure pour les trois derniers mois de l'année…
Deux secteurs d'activité sont particulièrement en difficulté. L'industrie d'abord, qui accuse un nouveau trimestre de destruction d'emplois, le… 58e d'affilée ! Le troisième trimestre n'a pas dérogé à la règle avec 14 600 emplois détruits. Le secteur de la construction ensuite, qui accuse 10 200 destructions d'emplois — une baisse encore, pour 14e trimestre à suivre.
C'est le secteur des services qui permet d'afficher un résultat proche de la stabilité : 23 900 emplois créés au troisième trimestre. L'Insee explique toutefois que la cadence à laquelle le secteur tertiaire créé des emplois ralentit, ce qui n'est pas de bon augure pour les trois derniers mois de l'année…