cc/Flickr/reynermedia
Un sondage réalisé par l’Observatoire social de l’entreprise avec l’institut Ipsos et le Cesi montre que l’alternance est très appréciée dans les entreprises françaises. Chez les salariés, par exemple, 77% ont une bonne image de l’alternance. Une opinion qui est commune à l’ensemble des professions, des artisans aux cadres, quelle que soit la taille de l’entreprise ou le niveau de diplôme des interviewés.
Chez les salariés la bonne opinion se propage également au niveau du niveau des jeunes une fois leur période d’alternance terminée : 7 salariés sur 10 estiment que les jeunes sont prêts à travailler dans une entreprise. Et niveau intégration, il en est de même : plus d’un salarié sur trois considère un jeune en alternance comme son collègue à part entière.
Chez les patrons, l’engouement existe mais est plus modéré : 54% des patrons ont une bonne image de l’alternance mais 40% en ont une mauvaise. Toutefois, le directeur général du Cesi, Vincent Cohas, cité par le journal Le Figaro, remarque que cette opinion varie avec le temps : « Plus les dirigeants ont recours à l’alternance, plus ils y sont favorables ».
Les grands groupes sont, par ailleurs, plus favorables à l’alternance que les petites entreprises, notamment par manque d’information pour ces dernières. Si bien que chez les grandes entreprises le recrutement en alternance est devenu normal.
Toutefois, des réticences existent, notamment car l’alternance est parfois à tort considérée comme une voie pour étudiants en échec scolaire.
Chez les salariés la bonne opinion se propage également au niveau du niveau des jeunes une fois leur période d’alternance terminée : 7 salariés sur 10 estiment que les jeunes sont prêts à travailler dans une entreprise. Et niveau intégration, il en est de même : plus d’un salarié sur trois considère un jeune en alternance comme son collègue à part entière.
Chez les patrons, l’engouement existe mais est plus modéré : 54% des patrons ont une bonne image de l’alternance mais 40% en ont une mauvaise. Toutefois, le directeur général du Cesi, Vincent Cohas, cité par le journal Le Figaro, remarque que cette opinion varie avec le temps : « Plus les dirigeants ont recours à l’alternance, plus ils y sont favorables ».
Les grands groupes sont, par ailleurs, plus favorables à l’alternance que les petites entreprises, notamment par manque d’information pour ces dernières. Si bien que chez les grandes entreprises le recrutement en alternance est devenu normal.
Toutefois, des réticences existent, notamment car l’alternance est parfois à tort considérée comme une voie pour étudiants en échec scolaire.