Les géants de l’internet veulent désormais faire face à leurs responsabilités, alors que les révélations de harcèlements sexuels se sont multipliés ces derniers temps. Ces entreprises évoluent dans des milieux majoritairement masculins, où le sexisme est quotidien. Pas facile pour une femme de prendre la place qui lui revient… Chez Google, comme chez Facebook, les directions ont décidé de s’attaquer sérieusement à ce problème.
Ce 9 novembre, Facebook a ainsi annoncé que les employés et les employées qui dénonceront des cas de harcèlements sexuels ne seront plus tenus d’activer une « clause d’arbitrage » : celle-ci les obligeaient jusqu’à présent à en passer par une médiation privée, en dehors des tribunaux. Les procès publics étaient donc, par le fait, très rares voire inexistants puisque tout s’arrangeait dans les coulisses. Google également a décidé d’abandonner le caractère obligatoire de cette clause d’arbitrage.
Chez Facebook, une nouvelle règle va imposer les cadres de haut niveau et les responsables de prévenir les ressources humaines en cas de liaison avec un autre employé. L’objectif ici est de contenir les possibles dérives. Du côté de Google, qui a renvoyé récemment 48 salariés impliqués dans des cas de harcèlement sexuel, on veut faire la transparence : l’entreprise va désormais communiquer le nombre de cas avérés ainsi que les mesures disciplinaires prises.
Ce 9 novembre, Facebook a ainsi annoncé que les employés et les employées qui dénonceront des cas de harcèlements sexuels ne seront plus tenus d’activer une « clause d’arbitrage » : celle-ci les obligeaient jusqu’à présent à en passer par une médiation privée, en dehors des tribunaux. Les procès publics étaient donc, par le fait, très rares voire inexistants puisque tout s’arrangeait dans les coulisses. Google également a décidé d’abandonner le caractère obligatoire de cette clause d’arbitrage.
Chez Facebook, une nouvelle règle va imposer les cadres de haut niveau et les responsables de prévenir les ressources humaines en cas de liaison avec un autre employé. L’objectif ici est de contenir les possibles dérives. Du côté de Google, qui a renvoyé récemment 48 salariés impliqués dans des cas de harcèlement sexuel, on veut faire la transparence : l’entreprise va désormais communiquer le nombre de cas avérés ainsi que les mesures disciplinaires prises.