L'accord a pourtant été signé par trois organisations syndicales, à savoir la CFDT, la CGC et la CFTC. Il comprenait deux volets. Le premier portait sur les 12 dimanches choisis par le maire, au lieu des 5 d'avant le vote de la loi Macron. Les employés volontaires recevaient une majoration de 100% de leurs salaires, plus un repos compensateur.
Le second volet touche aux enseignes installées dans les zones touristiques internationales (ZTI), là où la loi autorise désormais d'ouvrir tous les dimanches de l'année. L'accord prévoyait 12 dimanches avec une majoration de 200%, puis 40 dimanches à 100%, le tout sans repos compensateur.
La CFDT, signataire du texte, estime que les garanties essentielles sont là, notamment le droit à la réversibilité du choix. Hélas pour la Fnac, FO, SUD et la CGT ont refusé de signer l'accord. La CGT en fait même une question de principe, ce qui rend bien difficile la situation de l'entreprise, notamment dans les ZTI. Si la Fnac veut vraiment ouvrir le dimanche, il lui faudra reprendre son bâton de pèlerin.
Le second volet touche aux enseignes installées dans les zones touristiques internationales (ZTI), là où la loi autorise désormais d'ouvrir tous les dimanches de l'année. L'accord prévoyait 12 dimanches avec une majoration de 200%, puis 40 dimanches à 100%, le tout sans repos compensateur.
La CFDT, signataire du texte, estime que les garanties essentielles sont là, notamment le droit à la réversibilité du choix. Hélas pour la Fnac, FO, SUD et la CGT ont refusé de signer l'accord. La CGT en fait même une question de principe, ce qui rend bien difficile la situation de l'entreprise, notamment dans les ZTI. Si la Fnac veut vraiment ouvrir le dimanche, il lui faudra reprendre son bâton de pèlerin.