En France, les entreprises ont versé à leurs actionnaires des dividendes de 50,9 milliards de dollars, selon le calcul du cabinet Janus Henderson. Même si EDF et Engie ont réduit leurs dividendes durant le trimestre, cela n'en reste pas moins un chiffre colossal, en progression de 23,5% par rapport à la même période de 2017. L'Hexagone fait partie des 12 pays les plus rémunérateurs en la matière, en compagnie du Japon ou encore de Singapour, où la hausse du dividende a été la plus importante (+49,6%).
Plus globalement, c'est en Europe où les dividendes ont été les plus généreux. Ils se sont montés à 176,5 milliards de dollars, une performance en hausse de 18,7%. Du jamais vu depuis le deuxième trimestre 2015… Dans le monde, les dividendes versés aux actionnaires se sont établis à 497,4 milliards de dollars, un résultat en progression de 12,9%. On note au passage que la France fait mieux que la moyenne européenne et mondiale.
Parmi les entreprises les plus généreuses, ce sont celles des secteurs miniers, des technologies et de l'énergie qui se placent en tête. Néanmoins, les choses pourraient ne pas aller toujours aussi bien. La perspective d'une guerre commerciale attisée par la mise en place de tarifs douaniers pourrait en effet réduire les dividendes. Aux États-Unis, où les actionnaires se sont « contentés » d'une hausse de 4,5% de leurs dividendes trimestriels, l'impact pourrait être plus important encore.
Plus globalement, c'est en Europe où les dividendes ont été les plus généreux. Ils se sont montés à 176,5 milliards de dollars, une performance en hausse de 18,7%. Du jamais vu depuis le deuxième trimestre 2015… Dans le monde, les dividendes versés aux actionnaires se sont établis à 497,4 milliards de dollars, un résultat en progression de 12,9%. On note au passage que la France fait mieux que la moyenne européenne et mondiale.
Parmi les entreprises les plus généreuses, ce sont celles des secteurs miniers, des technologies et de l'énergie qui se placent en tête. Néanmoins, les choses pourraient ne pas aller toujours aussi bien. La perspective d'une guerre commerciale attisée par la mise en place de tarifs douaniers pourrait en effet réduire les dividendes. Aux États-Unis, où les actionnaires se sont « contentés » d'une hausse de 4,5% de leurs dividendes trimestriels, l'impact pourrait être plus important encore.