Entreprise
53% des jeunes interrogés se disent confiants dans leur avenir professionnel. 21% des personnes sondées marquent une crainte pour cet avenir, quand 19% d'entre eux sont sans avis. Première différence sensible : les garçons se montrent plus optimistes que les filles. 57% des premiers se disent en effet confiants, contre la moitié des filles.
La confiance dans l'avenir professionnel se mesure différemment selon les études. Une grande majorité des apprentis du secondaire (68%) et des jeunes qui ont arrêté leurs études mais qui ont un emploi (62%) sont optimistes. Le chiffre tombe à 47% pour les étudiants entamant leur première année à l'université ; il remonte à 64% pour les étudiants des classes préparatoires aux grandes écoles. À l'autre bout du spectre, les jeunes qui ont arrêté leurs études et qui sont sans emploi ne sont que 43% à envisager un avenir serein.
L'institut des statistiques note que près de la moitié des jeunes de 18 ans qui ont un diplôme ont aussi un emploi. Ils ne sont que 25% pour ceux n'ayant pas de diplôme. Autre enseignement de l'étude de l'Insee, l'origine sociale pèse toujours autant dans les choix des études. Ainsi, deux tiers des enfants de cadres continuent leur scolarité dans le supérieur, contre un tiers seulement des enfants d'ouvriers.
La confiance dans l'avenir professionnel se mesure différemment selon les études. Une grande majorité des apprentis du secondaire (68%) et des jeunes qui ont arrêté leurs études mais qui ont un emploi (62%) sont optimistes. Le chiffre tombe à 47% pour les étudiants entamant leur première année à l'université ; il remonte à 64% pour les étudiants des classes préparatoires aux grandes écoles. À l'autre bout du spectre, les jeunes qui ont arrêté leurs études et qui sont sans emploi ne sont que 43% à envisager un avenir serein.
L'institut des statistiques note que près de la moitié des jeunes de 18 ans qui ont un diplôme ont aussi un emploi. Ils ne sont que 25% pour ceux n'ayant pas de diplôme. Autre enseignement de l'étude de l'Insee, l'origine sociale pèse toujours autant dans les choix des études. Ainsi, deux tiers des enfants de cadres continuent leur scolarité dans le supérieur, contre un tiers seulement des enfants d'ouvriers.
