Franceinfo révèle d'ores et déjà que 17 offres de reprise ont été reçues par le groupe, ce qui parait peu sur le papier. Carrefour a regroupé les magasins menacés de fermeture en six grandes régions ; ce sont sur ces « régions » que les propositions de reprise se portent, et c'est dans celle du Rhin-Rhône que les prétendants sont les plus nombreux : neuf propositions de reprise ont ainsi été déposées auprès de Carrefour, en particulier par Lidl et Coopérative U. La région Sud a reçu quatre offres de reprise, contre deux pour le Nord-Ouest et deux dans le Nord.
Les régions « orphelines » pour le moment sont Paris et le Centre-Ouest. Plutôt inquiétant à moins d'un mois de la communication officielle de Carrefour. Parmi les entreprises intéressées, McDonald's voudrait empocher un immeuble à Cambrai, dans le Nord. Le groupe Action a déposé plusieurs offres d'acquisitions de droit au bail. En tout et pour tout, ces offres de reprise concernent 92 salariés. Les membres du comité central d'entreprise connaîtront les détails de ces offres le 4 juin, puis une seconde réunion est prévue le 21 juin pour recueillir l'avis sur les offres en question.
Les syndicats estiment que l'enseigne de grande distribution a tort de ne pas communiquer sur les offres de reprise. Certains estiment également que les chiffres apparaissent vraiment très faibles par rapport au potentiel que représente ces magasins. Officiellement, le groupe ne commente pas les chiffres qi circulent.
Les régions « orphelines » pour le moment sont Paris et le Centre-Ouest. Plutôt inquiétant à moins d'un mois de la communication officielle de Carrefour. Parmi les entreprises intéressées, McDonald's voudrait empocher un immeuble à Cambrai, dans le Nord. Le groupe Action a déposé plusieurs offres d'acquisitions de droit au bail. En tout et pour tout, ces offres de reprise concernent 92 salariés. Les membres du comité central d'entreprise connaîtront les détails de ces offres le 4 juin, puis une seconde réunion est prévue le 21 juin pour recueillir l'avis sur les offres en question.
Les syndicats estiment que l'enseigne de grande distribution a tort de ne pas communiquer sur les offres de reprise. Certains estiment également que les chiffres apparaissent vraiment très faibles par rapport au potentiel que représente ces magasins. Officiellement, le groupe ne commente pas les chiffres qi circulent.