Le chiffre semble insensé, et pourtant il provient du rapport annuel de la maison du luxe britanniques. Celle-ci a donc brûlé l’équivalent de 28 millions de livres de vêtements l’an dernier, soit environ 20 000 trenchs de la marque. Sur ce total, 10 millions de cosmétiques sont partis en fumée. Dans ce même rapport, l’entreprise explique que la valeur de ses invendus ont augmenté de 50% en deux ans (ils ont été multipliés par sept depuis 2013). Il s’agit de protéger la marque, selon la justification du groupe : pas question de vendre les invendus à bas prix ni de prêter le flanc aux contrefacteurs.
La pratique est connue et assumée depuis des années. On estime ainsi que Burberry a brûlé pour plus de 100 millions d’euros de ses produits ces cinq dernières années. La maison a indiqué que cette destruction se réalisait de manière « responsable » en coopération avec des entreprises spécialisées dans la récupération d’énergie. L’entreprise précise aussi qu’elle continue de rechercher des moyens de réduire encore la destruction de produits et de valoriser ses déchets. Le porte-parole sur l’environnement du parti des Libéraux démocrates a estimé que cette pratique était « scandaleuse » et qu’il valait mieux recycler plutôt que de brûler les produits.
Mais Burberry n’est pas le seul à détruire ainsi des invendus. C’est aussi le cas de H&M qui depuis 2013, aurait brûlé 60 tonnes de vêtements, à raison de 13 tonnes d’habits chaque année. Il s’agit d’un « recours absolu » s’est défendu l’enseigne, qui ne détruit que les produits dangereux ou défectueux.
La pratique est connue et assumée depuis des années. On estime ainsi que Burberry a brûlé pour plus de 100 millions d’euros de ses produits ces cinq dernières années. La maison a indiqué que cette destruction se réalisait de manière « responsable » en coopération avec des entreprises spécialisées dans la récupération d’énergie. L’entreprise précise aussi qu’elle continue de rechercher des moyens de réduire encore la destruction de produits et de valoriser ses déchets. Le porte-parole sur l’environnement du parti des Libéraux démocrates a estimé que cette pratique était « scandaleuse » et qu’il valait mieux recycler plutôt que de brûler les produits.
Mais Burberry n’est pas le seul à détruire ainsi des invendus. C’est aussi le cas de H&M qui depuis 2013, aurait brûlé 60 tonnes de vêtements, à raison de 13 tonnes d’habits chaque année. Il s’agit d’un « recours absolu » s’est défendu l’enseigne, qui ne détruit que les produits dangereux ou défectueux.