C’est l’enseignement d’une étude de Kaspersky relayée par Le Figaro, qui a mené une étude avec 95 cobayes. Ces derniers ont été placés dans quatre situations où le smartphone leur a été progressivement retiré ; d’abord avec l’appareil en poche, puis simplement posé sur le bureau, ensuite placé dans un tiroir, et finalement sorti de la pièce.
Ce test a montré une hausse de la concentration de 26% lorsque le smartphone est en dehors du champ de vision et hors de disponibilité de l’utilisateur. Un résultat intéressant donc, qui pourrait pousser les entreprises à durcir les conditions de participation aux réunions, par exemple : prière de laisser le smartphone à la porte !
L’étude cache aussi une autre bonne nouvelle : quand le smartphone n’est pas présent dans la pièce, le participant n’en ressent aucun stress. Car c’est bien son absence qui améliore la concentration, et non pas sa présence. Après tout, quand on sait que l’appareil est là quelque part à portée de main, cela peut représenter une tentation et provoquer du stress.
Ce test a montré une hausse de la concentration de 26% lorsque le smartphone est en dehors du champ de vision et hors de disponibilité de l’utilisateur. Un résultat intéressant donc, qui pourrait pousser les entreprises à durcir les conditions de participation aux réunions, par exemple : prière de laisser le smartphone à la porte !
L’étude cache aussi une autre bonne nouvelle : quand le smartphone n’est pas présent dans la pièce, le participant n’en ressent aucun stress. Car c’est bien son absence qui améliore la concentration, et non pas sa présence. Après tout, quand on sait que l’appareil est là quelque part à portée de main, cela peut représenter une tentation et provoquer du stress.