cc/flickr/marcopako
C’est un travail de longue haleine de plus en plus pratiqué par des géants de l’industrie high-tech celui dans lequel s’est embarqué Apple : la protection, dans les limites du faisable, des employés de ses sous-traitants et fournisseurs.
Foxconn avait en effet été au centre d’un scandale pour les conditions de travail de ses employés, ce qui avait entraîné des critiques envers Apple. Foxconn, profitant de la législation chinoise qui protège bien moins les ouvriers que celles des pays occidentaux, imposait des conditions de travail inhumaines dont Apple ne veut plus entendre parler. Elle a donc renforcé les contrôles auprès des fournisseurs et sous-traitants asiatiques.
Et si c’est là une manière de calmer le jeu des critiques, Apple va plus loin et promet que ses minerais ne seront issus que de zones « conflict-free » certifiées Par un organisme indépendant. Une décision complexe puisque, comme l’admet le géant de Cupertino lui-même, les plus gros gisements sont souvent dans des zones de conflit comme le Congo, l’Angola ou le Soudan du Sud.
Aujourd’hui, selon le document « Supplier responsibility report », Apple fait valoir que toutes les fonderies de tantale, minerai utilisé dans la conception des appareils électroniques, utilisent du minerai issu de zones sans conflit. La marque veut faire de même pour les autres minerais stratégiques pour ses produits comme l’or ou le tungstène.
De plus, Apple s’engage également auprès des mineurs : en 2013, 95% des complexes miniers qui fournissent Apple ont adopté les 60 heures de travail hebdomadaire comme limite pour leurs ouvriers.
Foxconn avait en effet été au centre d’un scandale pour les conditions de travail de ses employés, ce qui avait entraîné des critiques envers Apple. Foxconn, profitant de la législation chinoise qui protège bien moins les ouvriers que celles des pays occidentaux, imposait des conditions de travail inhumaines dont Apple ne veut plus entendre parler. Elle a donc renforcé les contrôles auprès des fournisseurs et sous-traitants asiatiques.
Et si c’est là une manière de calmer le jeu des critiques, Apple va plus loin et promet que ses minerais ne seront issus que de zones « conflict-free » certifiées Par un organisme indépendant. Une décision complexe puisque, comme l’admet le géant de Cupertino lui-même, les plus gros gisements sont souvent dans des zones de conflit comme le Congo, l’Angola ou le Soudan du Sud.
Aujourd’hui, selon le document « Supplier responsibility report », Apple fait valoir que toutes les fonderies de tantale, minerai utilisé dans la conception des appareils électroniques, utilisent du minerai issu de zones sans conflit. La marque veut faire de même pour les autres minerais stratégiques pour ses produits comme l’or ou le tungstène.
De plus, Apple s’engage également auprès des mineurs : en 2013, 95% des complexes miniers qui fournissent Apple ont adopté les 60 heures de travail hebdomadaire comme limite pour leurs ouvriers.