Si les pilotes donnent leur accord, Air France pourra aller de l'avant avec ce projet. La direction marche sur des œufs, puisque Transavia, sa filiale « low cost »,a occasionné des mouvements de grève l'an dernier. Cette nouvelle compagnie sera une filiale à 100% d'Air France, et elle ne pourra être cédée par la suite. Par ailleurs, la compagnie nationale conservera les droits de trafic.
La volonté de la direction d'Air France est de commencer à faire voler les moyen-courrier (Airbus A320) dès cet automne. Pour les vols long-courrier, l'ambition est de se lancer durant l'été 2018 avec des A340, l'année suivante avec des A350. Afin de gagner les bonnes grâces de leurs représentants, Air France a assuré que les vols seront assurés par ses pilotes, avec les mêmes règles d'utilisation et rémunération.
Afin de réduire au maximum les coûts, la compagnie aérienne veut mutualiste les coûts induits par les pilotes sur l'ensemble de ces derniers. La direction entend également mettre en place des améliorations de productivité et d'efficacité. L'objectif est de gagner en compétitivité, indispensable pour une transporteur à bas coûts. Le projet d'accord est ouvert aux signatures jusqu'au 24 février, avec la possibilité d'une prolongation si les organisations professionnelles le décident.
La volonté de la direction d'Air France est de commencer à faire voler les moyen-courrier (Airbus A320) dès cet automne. Pour les vols long-courrier, l'ambition est de se lancer durant l'été 2018 avec des A340, l'année suivante avec des A350. Afin de gagner les bonnes grâces de leurs représentants, Air France a assuré que les vols seront assurés par ses pilotes, avec les mêmes règles d'utilisation et rémunération.
Afin de réduire au maximum les coûts, la compagnie aérienne veut mutualiste les coûts induits par les pilotes sur l'ensemble de ces derniers. La direction entend également mettre en place des améliorations de productivité et d'efficacité. L'objectif est de gagner en compétitivité, indispensable pour une transporteur à bas coûts. Le projet d'accord est ouvert aux signatures jusqu'au 24 février, avec la possibilité d'une prolongation si les organisations professionnelles le décident.