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Les 4 000 cadres franciliens interrogés par Cadremploi sont 80% à envisager un déménagement en province, 75% estimant même vouloir franchir le Rubicon dans les trois ans. Si les atouts de la capitale sont connus, c'est à dire une activité culturelle unique et les postes les plus intéressants, ses défauts aussi : coût de la vie élevée, loyers exorbitants, temps de transport à rallonge…
Et la balance penche clairement du mauvais côté pour les cadres qui pour leur grande majorité, n'ont envie que d'une chose : voir si l'herbe est plus verte en province. Beaucoup d'entre eux sont même prêts à faire des sacrifices pour y parvenir, comme rogner sur les salaires pour 50% d'entre eux, se lancer dans une reconversion (pour 49,5%) et même s'éloigner temporairement de leur famille (33%). Autant dire que la motivation est bel et bien là pour ces candidats au départ.
Les cadres intéressés dans un déménagement loin de Paris ont majoritairement dans l'œil Bordeaux (à 54%), suivi par Nantes (42%) et Lyon (41,5%), la capitale des Gaules perdant une place par rapport à la même enquête réalisée l'an dernier. Néanmoins, il faut garder à l'esprit que ces métropoles rencontrent elles aussi des problèmes de transport, des loyers en hausse et un coût de la vie qui augmente là aussi.
Et pour cause : ces villes sont de plus en plus peuplés des cadres ex-parisiens qui ont tendance à importer avec eux une partie des défauts de la capitale…
Et la balance penche clairement du mauvais côté pour les cadres qui pour leur grande majorité, n'ont envie que d'une chose : voir si l'herbe est plus verte en province. Beaucoup d'entre eux sont même prêts à faire des sacrifices pour y parvenir, comme rogner sur les salaires pour 50% d'entre eux, se lancer dans une reconversion (pour 49,5%) et même s'éloigner temporairement de leur famille (33%). Autant dire que la motivation est bel et bien là pour ces candidats au départ.
Les cadres intéressés dans un déménagement loin de Paris ont majoritairement dans l'œil Bordeaux (à 54%), suivi par Nantes (42%) et Lyon (41,5%), la capitale des Gaules perdant une place par rapport à la même enquête réalisée l'an dernier. Néanmoins, il faut garder à l'esprit que ces métropoles rencontrent elles aussi des problèmes de transport, des loyers en hausse et un coût de la vie qui augmente là aussi.
Et pour cause : ces villes sont de plus en plus peuplés des cadres ex-parisiens qui ont tendance à importer avec eux une partie des défauts de la capitale…