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Finis les chefs, sous-chefs et la hiérarchie comme on l'entend dans le monde du travail. Tout le monde se retrouve (plus ou moins) à un niveau égal. Le nouveau management se voulait égalitaire et, surtout, une manière de réduire les tensions entre les chefs et les salariés. Mais les choses ne se sont pas déroulées totalement comme prévu.
Le New York Times rapporte en effet que de nombreux salariés ont tout simplement quitté l'entreprise. Lors de la mise en place de l'Holocracie, les salariés ont eu le choix d'accepter ce nouveau système ou bien de partir avec une prime de départ. Une offre qui avait été faite en mars 2015 et qui avait déjà entraîné le départ de 14% des salariés.
En début d'année 2016 Zappos a réitéré la proposition qui a de nouveau trouvé preneur : 50 salariés ont préféré la prime de départ à l'Holocracie portant le nombre de salariés qui sont partis depuis un peu moins d'un an à 260... soit 18% du nombre total de salariés de l'entreprise.
Tony Helsh, PDG de Zappos, reste toutefois confiant que son système est le bon. Il sait qu'un tel changement est compliqué et qu'il bouscule des habitudes établies mais il n'a pas l'intention de revenir en arrière. "L'auto-management et l'auto-organisation ne sont pas pour tout le monde" a-t-il admis.
Le New York Times rapporte en effet que de nombreux salariés ont tout simplement quitté l'entreprise. Lors de la mise en place de l'Holocracie, les salariés ont eu le choix d'accepter ce nouveau système ou bien de partir avec une prime de départ. Une offre qui avait été faite en mars 2015 et qui avait déjà entraîné le départ de 14% des salariés.
En début d'année 2016 Zappos a réitéré la proposition qui a de nouveau trouvé preneur : 50 salariés ont préféré la prime de départ à l'Holocracie portant le nombre de salariés qui sont partis depuis un peu moins d'un an à 260... soit 18% du nombre total de salariés de l'entreprise.
Tony Helsh, PDG de Zappos, reste toutefois confiant que son système est le bon. Il sait qu'un tel changement est compliqué et qu'il bouscule des habitudes établies mais il n'a pas l'intention de revenir en arrière. "L'auto-management et l'auto-organisation ne sont pas pour tout le monde" a-t-il admis.