Entreprise
Shutterstock/Economiematin
LE mois d'octobre est, pour Urban Outfitters et sa maison-mère URBN, le mois le plus chargé : non seulement le Black Friday se prépare mais doivent également commencer la distribution des vêtements pour la période de Noël et la livraison des commandes. Du coup les entrepôts sont souvent surchargés ce qui nécessiterait d'embaucher des personnes en plus en CDD.
Pas question, toutefois, pour Urban Outfitters car cela entraînerait une hausse de ses charges. Ce n'est pas comme si le groupe ne pouvait pas se le permettre avec ses 100 millions de dollars de bénéfice pour le premier semestre 2015 mais si il pouvait trouver comment compenser à coût zéro, ce serait clairement mieux.
Du coup URBN a lancé l'idée du bénévolat. Dans un mail envoyé aux employés du siège le groupe "cherche des volontaires le week-end pour aider au travail dans les centres d'expédition à Gap (en Pennsylvanie". Un travail dominical qui ne recevrait pas de salaire mais l'entreprise fournirait tout de même le repas et le transport aller-retour.
L'offre est même accompagnée par une explication des bienfaits de ce volontariat pour les employés du siège : non seulement ils oeuvrent pour le bien des clients et leur satisfaction mais en plus ils auront une expérience de terrain au niveau des entrepôts.
Si ce n'est pas en France qu'un tel appel fonctionnerait, il semblerait qu'aux Etats-Unis ce soit une réussite : selon URBN les salariés ont répondu "présent" massivement.
Pas question, toutefois, pour Urban Outfitters car cela entraînerait une hausse de ses charges. Ce n'est pas comme si le groupe ne pouvait pas se le permettre avec ses 100 millions de dollars de bénéfice pour le premier semestre 2015 mais si il pouvait trouver comment compenser à coût zéro, ce serait clairement mieux.
Du coup URBN a lancé l'idée du bénévolat. Dans un mail envoyé aux employés du siège le groupe "cherche des volontaires le week-end pour aider au travail dans les centres d'expédition à Gap (en Pennsylvanie". Un travail dominical qui ne recevrait pas de salaire mais l'entreprise fournirait tout de même le repas et le transport aller-retour.
L'offre est même accompagnée par une explication des bienfaits de ce volontariat pour les employés du siège : non seulement ils oeuvrent pour le bien des clients et leur satisfaction mais en plus ils auront une expérience de terrain au niveau des entrepôts.
Si ce n'est pas en France qu'un tel appel fonctionnerait, il semblerait qu'aux Etats-Unis ce soit une réussite : selon URBN les salariés ont répondu "présent" massivement.
