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L'étude a sondé 390 entreprises de type PME et TPE pour arriver à la conclusion suivante : les salaires en France devraient augmenter en moyenne de 2,4%. C'est beaucoup plus qu'en 2015 lorsqu'ils avaient augmenté de 1,2%. Mais le niveau d'avant crise, lorsque l'augmentation moyenne était de 3% par an, n'a pas encore été atteint. On s'y rapproche.
Surtout les Français peuvent encore bénéficier d'une inflation très basse (environ 1% par an) ce qui leur permet d'augmenter leur pouvoir d'achat. Une bonne nouvelle, mais pas pour tout le monde.
Selon le cabinet Aon Hewitt, en effet, quasiment la moitié des entreprises (41%) ne comptent pas accorder d'augmentations de salaires pour l'année à venir à leurs employés. Chaque entreprise fera donc comme bon lui semble et les disparités seront grandes "y compris au sein d'un même secteur" précise Vincent Cornet, directeur Rémunération Globale du cabinet.
Au total, donc, la progression générale des salaires ne sera que de 1% et de 2,2% en ce qui concerne les augmentations individuelles.
Les Français sont donc moins bien lotis que leurs voisins européens : les hausses de salaires restent faibles. En Allemagne, par exemple, le cabinet prévoit une hausse de 2,9% et au Royaume-Uni elle devrait être de 3%. Une tendance qui ne pourra que s'améliorer avec le temps si la crise est réellement passée.
Surtout les Français peuvent encore bénéficier d'une inflation très basse (environ 1% par an) ce qui leur permet d'augmenter leur pouvoir d'achat. Une bonne nouvelle, mais pas pour tout le monde.
Selon le cabinet Aon Hewitt, en effet, quasiment la moitié des entreprises (41%) ne comptent pas accorder d'augmentations de salaires pour l'année à venir à leurs employés. Chaque entreprise fera donc comme bon lui semble et les disparités seront grandes "y compris au sein d'un même secteur" précise Vincent Cornet, directeur Rémunération Globale du cabinet.
Au total, donc, la progression générale des salaires ne sera que de 1% et de 2,2% en ce qui concerne les augmentations individuelles.
Les Français sont donc moins bien lotis que leurs voisins européens : les hausses de salaires restent faibles. En Allemagne, par exemple, le cabinet prévoit une hausse de 2,9% et au Royaume-Uni elle devrait être de 3%. Une tendance qui ne pourra que s'améliorer avec le temps si la crise est réellement passée.