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Le cabinet Deloitte a publié en ce mois de février 2015 sont Observatoire de la Rétribution qui, chaque année, donne la tendance des augmentations salariales dans les entreprises françaises. Cette année encore, ce ne sera pas la joie, les entreprises ayant baissé leur enveloppe dédiée aux augmentations de 0,3 à 0,5%.
Comme toujours ce sont les cadres qui devraient le plus bénéficier des augmentations mais ne seront pas vraiment mieux traités que leurs collègues. Si les premiers devraient voir leur salaire augmenter de 1,9% en moyenne, les autres employés les talonnent avec une augmentation moyenne de 1,85%. Moyenne, car selon le secteur la différence peut être de taille.
Ainsi, les employés des secteurs de l'énergie et des assurances seront probablement les mieux traités. Notamment les assurances qui ont la cote en ce moment avec le taux du Livert A très bas. Il devrait d'ailleurs en être de même pour le secteur financier, que ce soit les banques ou la finance en général.
Au contraire, les secteurs qui subissent de plein fouet la crise économique, comme la grande distribution, la restauration ou encore les transports et les services, ne devraient pas couvrir leurs employés d'augmentations importantes.
D'autant plus que désormais la tendance est à l'augmentation de certains employés et non de tous les employés de l'entreprise. 30% des entreprises comptent en effet cibler les bénéficiaires des augmentations de cette année 2015. A commencer par la revalorisation des bas salaires et la fidélisation des collaborateurs les plus performants.
Comme toujours ce sont les cadres qui devraient le plus bénéficier des augmentations mais ne seront pas vraiment mieux traités que leurs collègues. Si les premiers devraient voir leur salaire augmenter de 1,9% en moyenne, les autres employés les talonnent avec une augmentation moyenne de 1,85%. Moyenne, car selon le secteur la différence peut être de taille.
Ainsi, les employés des secteurs de l'énergie et des assurances seront probablement les mieux traités. Notamment les assurances qui ont la cote en ce moment avec le taux du Livert A très bas. Il devrait d'ailleurs en être de même pour le secteur financier, que ce soit les banques ou la finance en général.
Au contraire, les secteurs qui subissent de plein fouet la crise économique, comme la grande distribution, la restauration ou encore les transports et les services, ne devraient pas couvrir leurs employés d'augmentations importantes.
D'autant plus que désormais la tendance est à l'augmentation de certains employés et non de tous les employés de l'entreprise. 30% des entreprises comptent en effet cibler les bénéficiaires des augmentations de cette année 2015. A commencer par la revalorisation des bas salaires et la fidélisation des collaborateurs les plus performants.