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Bien que ce soit compliqué de travailler "normalement" alors que des attentats ont eu lieu, les salariés parisiens semblent en mesure de se contrôler. Selon Les Echos, qui est allé à la rencontre de divers DRH, la peur n'a pas détourné les salariés de leurs tâches.
La première peur que l'on remarque est celle des transports en commun. Depuis les attentats la RATP a enregistré une baisse de la fréquentation de 10% tandis que des bouchons record sont apparus un peu partout en Ile-de-France. Mais malgré ça les salariés sont fidèles à leurs postes. Les DRH ont surtout pris des "mesures de sécurité renforcées", notamment dans les tours de la Défense, afin de rassurer le personnel. Le groupe Solvay, par exemple, procède à une fouille systématique des personnes entrant dans leurs locaux.
Le droit de rentrait, selon l'enquête des Echos, n'a pas été utilisé. A croire que malgré la peur aucun salarié n'a estimé que les attentats étaient "un motif raisonnable" pour ne pas se rendre au travail. Prouvant par-là que le surréalisme de cette situation et de ces événements n'a pas pris le pas sur la réalité.
Quelques personnes, les plus traumatisées, semblent avoir demandé un arrêt de travail temporaire. Notamment des témoins et des proches des victimes. Mais il n'y a pas là de quoi penser qu'il y ait une réelle panique en France. En fait il semblerait que la panique ait surtout frappé les étrangers : les demandes de reports de rendez-vous ou de réunions se sont multipliées.
La première peur que l'on remarque est celle des transports en commun. Depuis les attentats la RATP a enregistré une baisse de la fréquentation de 10% tandis que des bouchons record sont apparus un peu partout en Ile-de-France. Mais malgré ça les salariés sont fidèles à leurs postes. Les DRH ont surtout pris des "mesures de sécurité renforcées", notamment dans les tours de la Défense, afin de rassurer le personnel. Le groupe Solvay, par exemple, procède à une fouille systématique des personnes entrant dans leurs locaux.
Le droit de rentrait, selon l'enquête des Echos, n'a pas été utilisé. A croire que malgré la peur aucun salarié n'a estimé que les attentats étaient "un motif raisonnable" pour ne pas se rendre au travail. Prouvant par-là que le surréalisme de cette situation et de ces événements n'a pas pris le pas sur la réalité.
Quelques personnes, les plus traumatisées, semblent avoir demandé un arrêt de travail temporaire. Notamment des témoins et des proches des victimes. Mais il n'y a pas là de quoi penser qu'il y ait une réelle panique en France. En fait il semblerait que la panique ait surtout frappé les étrangers : les demandes de reports de rendez-vous ou de réunions se sont multipliées.