La CFDT signe ici un résultat historique : pour la première fois elle devient la première organisation syndicale devant l’historique CGT, la plus ancienne de France, dans le secteur privé. La CFDT a recueilli 26,37 % des voix contre seulement 24,85 % pour la CGT qui se retrouve, de fait, en deuxième place. Suivent Force Ouvrière (FO) avec 15,59 % des voix, la CFE-CGC avec 10,67 % des voix et la CFTC avec 9,49 % des voix.
La progression n’est pas très significative pour la CFDT par rapport aux élections de 2013 puisqu’elle avait recueilli 26 % des suffrages. Mais c’est la CGT qui recule fortement : en 2013 elle était restée la première organisation syndicale du secteur privé en France avec 26,77 % des suffrages.
Sans surprise, le secrétaire général de la CFDT et désormais secrétaire générale du premier syndicat de France, Laurent Berger, s’est félicité du résultat qu’il a qualifié « d’historique ». Philippe Martinez, à la tête de la CGT, a accepté la défaite dont il était, semble-t-il, déjà au courant avant la publication des résultats officiels. Selon lui cet échec est lié à un « déficit d’implantation ».
Désormais, donc, c’est avec la CFDT que le futur gouvernement issu de la prochaine élection Présidentielle devra négocier en premier lieu, bien que l’importance de la CGT est loin d’être devenue négligeable pour le dialogue social.
La progression n’est pas très significative pour la CFDT par rapport aux élections de 2013 puisqu’elle avait recueilli 26 % des suffrages. Mais c’est la CGT qui recule fortement : en 2013 elle était restée la première organisation syndicale du secteur privé en France avec 26,77 % des suffrages.
Sans surprise, le secrétaire général de la CFDT et désormais secrétaire générale du premier syndicat de France, Laurent Berger, s’est félicité du résultat qu’il a qualifié « d’historique ». Philippe Martinez, à la tête de la CGT, a accepté la défaite dont il était, semble-t-il, déjà au courant avant la publication des résultats officiels. Selon lui cet échec est lié à un « déficit d’implantation ».
Désormais, donc, c’est avec la CFDT que le futur gouvernement issu de la prochaine élection Présidentielle devra négocier en premier lieu, bien que l’importance de la CGT est loin d’être devenue négligeable pour le dialogue social.