Depuis la publication, sur Change.org, de la pétition contre la Loi Travail par Caroline de Haas la mobilisation ne cesse de s'amplifier : la pétition a dépassé les 950 000 signatures et l'Unef, le syndicat étudiant, a annoncé qu'il allait se mobiliser "jusqu'au retrait définitif du texte". La dernière mobilisation de l'Unef date de 2006 et avait conduit au retrait de la loi sur le CPE.
Les syndicats, de leur côté, sont partagés : certains veulent le retrait du texte, d'autres veulent simplement que des parties du texte soient réécrites ou supprimées. En particulier : le plafonnement des indemnités prud'homales et l'assouplissement des règles pour réaliser un licenciement économique.
Les syndicats ont d'ailleurs le soutien des Français : seuls 18 % des interrogés par le sondage Elab pour Les Echos veulent garder le texte tel qu'il est ce qui signifie que 82 % des Français y sont opposés. Un Français sur trois, selon ce sondage, veut le retrait pur et simple de la Loi Travail.
De son côté le Medef, qui n'a jamais caché être favorable à cette loi, a tenté de lancer une contre-pétition sur Internet qui n'a recueilli que 15 000 signatures dont une grande partie de la part des opposants qui ont signé uniquement pour laisser un commentaire. Mais le gouvernement ne semble pas encore sur le point de céder : la présentation du texte, initialement prévue pour le 9 mars 2016 date des premières manifestations, a été repoussée de deux semaines.
Les syndicats, de leur côté, sont partagés : certains veulent le retrait du texte, d'autres veulent simplement que des parties du texte soient réécrites ou supprimées. En particulier : le plafonnement des indemnités prud'homales et l'assouplissement des règles pour réaliser un licenciement économique.
Les syndicats ont d'ailleurs le soutien des Français : seuls 18 % des interrogés par le sondage Elab pour Les Echos veulent garder le texte tel qu'il est ce qui signifie que 82 % des Français y sont opposés. Un Français sur trois, selon ce sondage, veut le retrait pur et simple de la Loi Travail.
De son côté le Medef, qui n'a jamais caché être favorable à cette loi, a tenté de lancer une contre-pétition sur Internet qui n'a recueilli que 15 000 signatures dont une grande partie de la part des opposants qui ont signé uniquement pour laisser un commentaire. Mais le gouvernement ne semble pas encore sur le point de céder : la présentation du texte, initialement prévue pour le 9 mars 2016 date des premières manifestations, a été repoussée de deux semaines.