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Un sondage réalisé auprès de demandeurs d’emploi par le cabinet OpinionWay pour JobaProximité montrerait que les chômeurs ont tendance à préférer un travail utile et intéressant. En particulier, c’est l’intérêt de la mission qui l’emporte (96% des sondés) alors que 95% veulent se sentir « utiles ».
Le salaire reste une part importante dans le choix d’un travail mais il n’intervient que pour 90% des demandeurs d’emploi, que ce soit à cause de la crise ou par intérêt personnel. D’autres critères ont toutefois été énoncés lors de ce sondage comme critères importants pour le choix d’un emploi : la proximité entre l’habitation et le lieu de travail ainsi que l’absence de stress.
Mais ce qui est importante est que ce sondage a également mis en évidence que les demandeurs d’emploi sont prêts à de gros sacrifices pour avoir un travail qui leur plaît et qui les intéresse. Les horaires décalés sont envisageables pour 38% des sondés, notamment chez les jeunes entre 18 et 24 ans.
32% des demandeurs d’emploi seraient également prêt à déménager tandis qu’ils ne sont pas moins de 27% à estimer qu’un travail intéressant et plaisant peut se concilier avec une réduction du salaire initialement prévu dans la recherche. 23% renonceraient même à des congés ou aux RTT pour avoir un emploi qui leur plaît.
Le salaire reste une part importante dans le choix d’un travail mais il n’intervient que pour 90% des demandeurs d’emploi, que ce soit à cause de la crise ou par intérêt personnel. D’autres critères ont toutefois été énoncés lors de ce sondage comme critères importants pour le choix d’un emploi : la proximité entre l’habitation et le lieu de travail ainsi que l’absence de stress.
Mais ce qui est importante est que ce sondage a également mis en évidence que les demandeurs d’emploi sont prêts à de gros sacrifices pour avoir un travail qui leur plaît et qui les intéresse. Les horaires décalés sont envisageables pour 38% des sondés, notamment chez les jeunes entre 18 et 24 ans.
32% des demandeurs d’emploi seraient également prêt à déménager tandis qu’ils ne sont pas moins de 27% à estimer qu’un travail intéressant et plaisant peut se concilier avec une réduction du salaire initialement prévu dans la recherche. 23% renonceraient même à des congés ou aux RTT pour avoir un emploi qui leur plaît.