C’est un projet inédit que celui qu’a lancé Swisscom. Une nouveauté dans le monde de la gestion du personnel qui pourrait faire des émules dans les grandes entreprises s’il réussit. Car il permet à Swisscom de répondre à deux besoins d’un seul trait : renflouer un peu ses caisses et réduire le nombre d’employés actifs sans licencier.
En effet, Swisscom doit faire face à une baisse de son chiffre d’affaires de 6,6% en cette fin d’année 2013 mais elle ne veut pas licencier à tout va. Carsten Roetz, porte-parole de l’entreprise, a donc annoncé cette mesure.
Swisscom a bien fait ses calculs : avec ses 19 500 employés, si seulement un tiers de ceux-ci est intéressé par l’offre faite par l’entreprise, ce projet pourrait lui apporter près de 18,5 millions d’euros par an tout en réduisant les coûts salariés. Car un employé qui achète ses jours de congé est forcément un employé non payé. Mais il n’est pas licencié.
Si le projet peut paraître quasiment absurde, il répond aussi, selon Carsten Roetz, à une demande croissante de congés de la part, notamment, d’employés hommes qui veulent mieux jouer leur rôle de pères. En Suisse, la demande de congés parentaux chez les hommes a fortement augmenté durant ce dernières années, preuve que la société est en train de changer et que le rôle de l’homme au sein de l’éducation des enfants est en pleine mutation aussi.
Naturellement, il existe aussi un côté négatif de ce projet pilote et c’est l’augmentation de la charge de travail sur les employés qui ne pourraient ou ne désireraient pas acheter des jours fériés. Mais au moins il n’est pas question de licenciements économiques.
En effet, Swisscom doit faire face à une baisse de son chiffre d’affaires de 6,6% en cette fin d’année 2013 mais elle ne veut pas licencier à tout va. Carsten Roetz, porte-parole de l’entreprise, a donc annoncé cette mesure.
Swisscom a bien fait ses calculs : avec ses 19 500 employés, si seulement un tiers de ceux-ci est intéressé par l’offre faite par l’entreprise, ce projet pourrait lui apporter près de 18,5 millions d’euros par an tout en réduisant les coûts salariés. Car un employé qui achète ses jours de congé est forcément un employé non payé. Mais il n’est pas licencié.
Si le projet peut paraître quasiment absurde, il répond aussi, selon Carsten Roetz, à une demande croissante de congés de la part, notamment, d’employés hommes qui veulent mieux jouer leur rôle de pères. En Suisse, la demande de congés parentaux chez les hommes a fortement augmenté durant ce dernières années, preuve que la société est en train de changer et que le rôle de l’homme au sein de l’éducation des enfants est en pleine mutation aussi.
Naturellement, il existe aussi un côté négatif de ce projet pilote et c’est l’augmentation de la charge de travail sur les employés qui ne pourraient ou ne désireraient pas acheter des jours fériés. Mais au moins il n’est pas question de licenciements économiques.