Per-Erik Muskos, conseiller municipal de la petite ville suédoise d’Overtornea, dans le nord du pays, a eu une idée qui pourrait paraître assez étonnante : il veut instaurer des « pauses sexe » pour les employés. Comme toujours, le principe est de permettre aux travailleurs d’avoir la meilleure vie de famille qui soit et, comme le démontrent plusieurs études, le sexe fait partie intégrante de la vie de couple et fait du bien à la santé mentale (et physique).
Per-Erik Muskos veut donc instaurer une « pause sexe » d’une heure. Cette pause, que les employés pourraient prendre en pleine journée, serait bien évidemment payée par l’entreprise puisqu’il ne s’agit pas de travailler une heure de moins ou de rattraper l’heure perdue avant ou après la séance de galipettes. Cette pause sexe serait, à l’instar de la pause cigarette, intégralement perçue. Seul souci : il est impossible de savoir si l’employé va effectivement utiliser ce temps à l’activité pour lequel il est prévu...
Si Per-Erik Muskos est convaincu de son idée, il estime même qu’il ne voit pas pourquoi elle ne serait pas adoptée, pas sûr qu’une telle idée se fraye son chemin chez les patrons français ou même les politiques. Même la Silicon Valley, pourtant de plus en plus attentive au bien-être de ses employés, n’y avait pas pensé.
Mais que les patrons suédois se rassurent : comme pour la semaine de 30 heures de Gothenburg, la « pause sexe » ne serait valable, si elle est adoptée, que pour la petite ville d’Overtornea et ses 2 000 habitants.
Per-Erik Muskos veut donc instaurer une « pause sexe » d’une heure. Cette pause, que les employés pourraient prendre en pleine journée, serait bien évidemment payée par l’entreprise puisqu’il ne s’agit pas de travailler une heure de moins ou de rattraper l’heure perdue avant ou après la séance de galipettes. Cette pause sexe serait, à l’instar de la pause cigarette, intégralement perçue. Seul souci : il est impossible de savoir si l’employé va effectivement utiliser ce temps à l’activité pour lequel il est prévu...
Si Per-Erik Muskos est convaincu de son idée, il estime même qu’il ne voit pas pourquoi elle ne serait pas adoptée, pas sûr qu’une telle idée se fraye son chemin chez les patrons français ou même les politiques. Même la Silicon Valley, pourtant de plus en plus attentive au bien-être de ses employés, n’y avait pas pensé.
Mais que les patrons suédois se rassurent : comme pour la semaine de 30 heures de Gothenburg, la « pause sexe » ne serait valable, si elle est adoptée, que pour la petite ville d’Overtornea et ses 2 000 habitants.