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La banque d'affaires JPMorgan avait prévenu en amont du référendum : son équipe de 16 000 personnes basée dans la capitale britannique aurait pu être concernée par un déménagement si le Brexit avait lieu. Début juin, c'était Jamie Dimon en personne, PDG de JPMorgan, qui annonçait cette éventualité lors d'un discours fait à ses collaborateurs. Le Brexit a eu lieu, et il est désormais temps de prendre des mesures.
Jamie Dimon a envoyé vendredi 24 juin 2016 un mémo a ses équipes britanniques que le Business Insider a pu obtenir. Il a voulu rassurer ses équipes estimant que "malgré l'issue du vote" la banque maintiendra "une grosse présence à Londres, Bournemouth et en Ecosse". Jamie Dimon n'a en effet jamais donné d'estimation précise du nombre de postes que le groupe aurait pu déménager.
Le PDG de JPMorgan se retient d'annoncer des chiffres mais prévient : "dans les mois à venir nous allons peut-être devoir changer notre organisation et la localisation de certains postes". Le déménagement des équipes aura donc bien lieu, mais aucune précision n'est donnée. Le PDG de la banque se laisse le temps de la réflexion et, notamment, d'avoir un visuel plus clair sur les futures relations économiques et politiques entre le Royaume-Uni et l'Union Européenne.
Théoriquement, s'il y aura déménagement, il ne devrait pas y avoir de licenciements. Le déménagement ne serait lié qu'à des problématiques légales, commerciales et juridiques.
Jamie Dimon a envoyé vendredi 24 juin 2016 un mémo a ses équipes britanniques que le Business Insider a pu obtenir. Il a voulu rassurer ses équipes estimant que "malgré l'issue du vote" la banque maintiendra "une grosse présence à Londres, Bournemouth et en Ecosse". Jamie Dimon n'a en effet jamais donné d'estimation précise du nombre de postes que le groupe aurait pu déménager.
Le PDG de JPMorgan se retient d'annoncer des chiffres mais prévient : "dans les mois à venir nous allons peut-être devoir changer notre organisation et la localisation de certains postes". Le déménagement des équipes aura donc bien lieu, mais aucune précision n'est donnée. Le PDG de la banque se laisse le temps de la réflexion et, notamment, d'avoir un visuel plus clair sur les futures relations économiques et politiques entre le Royaume-Uni et l'Union Européenne.
Théoriquement, s'il y aura déménagement, il ne devrait pas y avoir de licenciements. Le déménagement ne serait lié qu'à des problématiques légales, commerciales et juridiques.