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Face aux géants du e-commerce, et notamment de Amazon, la FNAC ne peut plus grand-chose même si les résultats du groupe sont en hausse. Le bénéfice net de la FNAC a triplé en 2014 s'établissant à 41 millions d'euros. Mais Amazon reste une menace et Frédéric Bompard ne le cache pas :
" L'ameublement ouvre le dimanche, le bricolage ouvre le dimanche. Ce sont des secteurs qui ne sont pas traversés par la lutte contre Amazon. 25% du chiffre d'affaires d'Amazon se fait le dimanche et il se fait principalement sur le secteur culturel." Une donnée par ailleurs démentie par Romain Voog, PDG d'Amazon France, en novembre 2014.
Mais qu'importe. Sur RTL ce vendredi 27 février 2015, Frédéric Bompard lance un appel au gouvernement qui a déjà, via la Loi Macron, augmenté le nombre d'ouvertures dominicales de 5 à 12 par an. Une avancée de laquelle le président de la FNAC se félicite. Mais il aimerait bien que pour le secteur culture le gouvernement aille plus loin.
" Pour moi, commerçant culturel, il y a un sujet. Je ne comprends pas, alors que nous sommes le sujet le plus touché par la révolution digitale, de ne pas pouvoir ouvrir le dimanche. [...] Je demande une exception sur le culturel."
A voir si le gouvernement va l'écouter mais étant donné le débat vif et tendu qu'il y a eu sur l'ouverture le dimanche des magasins de bricolage, difficile de croire que le gouvernement va de nouveau se lancer dans un dossier aussi sensible qui risque de faire jaser les syndicats.
" L'ameublement ouvre le dimanche, le bricolage ouvre le dimanche. Ce sont des secteurs qui ne sont pas traversés par la lutte contre Amazon. 25% du chiffre d'affaires d'Amazon se fait le dimanche et il se fait principalement sur le secteur culturel." Une donnée par ailleurs démentie par Romain Voog, PDG d'Amazon France, en novembre 2014.
Mais qu'importe. Sur RTL ce vendredi 27 février 2015, Frédéric Bompard lance un appel au gouvernement qui a déjà, via la Loi Macron, augmenté le nombre d'ouvertures dominicales de 5 à 12 par an. Une avancée de laquelle le président de la FNAC se félicite. Mais il aimerait bien que pour le secteur culture le gouvernement aille plus loin.
" Pour moi, commerçant culturel, il y a un sujet. Je ne comprends pas, alors que nous sommes le sujet le plus touché par la révolution digitale, de ne pas pouvoir ouvrir le dimanche. [...] Je demande une exception sur le culturel."
A voir si le gouvernement va l'écouter mais étant donné le débat vif et tendu qu'il y a eu sur l'ouverture le dimanche des magasins de bricolage, difficile de croire que le gouvernement va de nouveau se lancer dans un dossier aussi sensible qui risque de faire jaser les syndicats.