Parmi les chefs d’entreprises qui ont accepté de répondre au questionnaire il ressort une tendance générale : le fait religieux ne doit pas prendre trop d’importance dans la vie de l’entreprise. Ainsi 88 % des interrogés ne pensent pas à créer des salles spéciales pour les prières et 84 % ne comptent pas aménager le travail en fonction de la religion, tout du moins pas au niveau formel de la structure de l’entreprise. Si les employés prennent des mesures entre eux, cela pose moins de problèmes mais rencontre tout de même la défaveur de 68 % des chefs d’entreprise.
Si au niveau de l’entreprise le fait religieux est mal vu, les patrons ne sont pas contre l’expression de celui-ci et les aménagements personnels que ça nécessite. Ainsi 93 % des interrogés acceptent qu’un jour de congé soit posé pour des raisons religieuses, 92 % estiment que les restaurants d’entreprise devraient proposer systématiquement des repas végétariens et 83 % acceptent le jeun d’un salarié durant ses heures de travail.
Néanmoins, les chefs d’entreprise estiment que les salariés doivent faire également des efforts et proscrire les attitudes qui les excluent des autre collègues : 54 % estiment qu’un salarié n’a pas à refuser de manger avec ses collègues pour des raisons religieuses et 90 % ne considèrent pas possible qu’un salarié ne serre pas la main d’une personne de l’autre sexe ou refuse de s’asseoir à sa place.
Si au niveau de l’entreprise le fait religieux est mal vu, les patrons ne sont pas contre l’expression de celui-ci et les aménagements personnels que ça nécessite. Ainsi 93 % des interrogés acceptent qu’un jour de congé soit posé pour des raisons religieuses, 92 % estiment que les restaurants d’entreprise devraient proposer systématiquement des repas végétariens et 83 % acceptent le jeun d’un salarié durant ses heures de travail.
Néanmoins, les chefs d’entreprise estiment que les salariés doivent faire également des efforts et proscrire les attitudes qui les excluent des autre collègues : 54 % estiment qu’un salarié n’a pas à refuser de manger avec ses collègues pour des raisons religieuses et 90 % ne considèrent pas possible qu’un salarié ne serre pas la main d’une personne de l’autre sexe ou refuse de s’asseoir à sa place.