cc/flickr/ Tulane Public Relations
Ainsi, les jeunes diplômés plébiscitent les grands groupes (84%) aux start-up et aux PME selon une étude du cabinet Deloitte. Le sentiment est qu’un grand nom sur un CV est très important pour la suite. Car les jeunes le savent : la première entreprise qui les embauchera ne sera sans doute pas la dernière.
La génération Y (dont le nom a été donné par la forme créée par les écouteurs des supports musicaux portables) a en effet perdu confiance en l’avenir et surtout en leur avenir professionnel. Seuls 32% des jeunes confrontés à la difficulté de trouver un emploi ont confiance dans les entreprises. Un chiffre qui s’écroulent comparé à celui des jeunes encore étudiants qui ont, eux, confiance dans les entreprises à 75%.
De fait, donc, sachant qu’ils devront de nouveau faire face à une recherche d’emploi, les jeunes espèrent au moins une sécurité au niveau du salaire : leurs espoirs se portent sur un salaire supérieur à 35 000 euros bruts par an car, pour 63% des étudiants, le travail est un « moyen de gagner sa vie ». Le travail n’est vu comme un mode d’insertion dans la société que par 13% des interviewés tandis qu’ils sont moins de 25% à le considérer une « source d’épanouissement personnel ».
De plus, la hiérarchie semble poser un problème pour la nouvelle génération. Ils ne sont que 4% à vouloir un management « directif ». 77% d’entre eux préféreraient un management plus jeune basé sur des échanges nombreux avec les supérieurs et les collègues.
La génération Y (dont le nom a été donné par la forme créée par les écouteurs des supports musicaux portables) a en effet perdu confiance en l’avenir et surtout en leur avenir professionnel. Seuls 32% des jeunes confrontés à la difficulté de trouver un emploi ont confiance dans les entreprises. Un chiffre qui s’écroulent comparé à celui des jeunes encore étudiants qui ont, eux, confiance dans les entreprises à 75%.
De fait, donc, sachant qu’ils devront de nouveau faire face à une recherche d’emploi, les jeunes espèrent au moins une sécurité au niveau du salaire : leurs espoirs se portent sur un salaire supérieur à 35 000 euros bruts par an car, pour 63% des étudiants, le travail est un « moyen de gagner sa vie ». Le travail n’est vu comme un mode d’insertion dans la société que par 13% des interviewés tandis qu’ils sont moins de 25% à le considérer une « source d’épanouissement personnel ».
De plus, la hiérarchie semble poser un problème pour la nouvelle génération. Ils ne sont que 4% à vouloir un management « directif ». 77% d’entre eux préféreraient un management plus jeune basé sur des échanges nombreux avec les supérieurs et les collègues.