Le service en Cloud se décline aujourd’hui en deux versions : l’une en SaaS, et l’autre déployée sur site. Dans les faits explique Genius Inside dans son livre blanc, ces modèles partagent certaines caractéristiques et pas d’autres. Afin d’y voir un peu plus clair, cet éditeur fait donc un tour d’horizon des produits existants.
Le premier critère discriminant à observer à l’occasion du choix d’un service en Cloud est la confidentialité. Par confidentialité, on entend ici la possibilité où non pour des utilisateurs publics d’accéder au contenu proposé par le service en Cloud. Linkedin ou Facebook constituent des offres de « Cloud public », ils ne conviennent donc pas aux professionnels qui souhaitent donner à leurs salariés la possibilité de ne partager des données qu’entre eux sans prendre aucun risque grâce à un système en « Cloud privé ».
À la marge de ces deux types de services, il existe aussi des services en Cloud hybride qui offre une certaine porosité entre un espace de partage privé et un autre public. Ces formules sont encore rares, mais elles peuvent fournir aux utilisateurs expérimentés une flexibilité d’échange et de communication qui peut être utile à certaines activités.
Le distinguo le plus porteur de sens pour le gestionnaire de projet est sans aucun doute celui entre les solutions SaaS et les solutions sur site. Les softwares as a service se sont imposés comme la formule la plus populaire auprès des entreprises, notamment parce qu’elle « permet aux entreprises de bénéficier d’un logiciel professionnel sans qu’aucune connaissance préalable ne soit nécessaire ». En effet, le SaaS relègue au prestataire toute la maintenance technique de l’infrastructure Cloud, il s’agit par ailleurs d’une offre souple, sur demande qui favorise la maîtrise des coûts. Mais le SaaS suppose un stockage distant des données, et une dépendance accrue au web et à son fournisseur d’accès à internet.
Quant aux solutions de Cloud déployées sur site, elles ont un prix d’entrée très élevé et supposent un réel investissement de départ. Mais pour peu que l’entreprise dispose de ses propres serveurs, elle peut se doter ainsi de la capacité à stocker ses données chez elle, sans être forcément dépendante d’un accès à internet. Un réseau domestique peut alors suffire à assurer la continuité des flux de donnée et la permanence de leur accessibilité depuis l’intérieur de l’entreprise.
Pour le chef d’entreprise et les gestionnaires de projets, il est donc impératif d’avoir ces différences en tête avant de préférer une formule. Genius Inside invite d’ailleurs les acheteurs potentiels à se poser des questions clés qu’elles consignent dans son livre blanc : « travaillez-vous avec des équipes délocalisées ? », « votre entreprise tire-t-elle parti du Cloud aujourd’hui ? ». Les réponses à cet ensemble de questions constituent autant d’éléments sur lesquels il est indispensable de s’appuyer pour faire son choix. Car le Cloud n’est pas une technologie miracle ; ce n’est qu’un instrument optimisé de partage de document. Il convient donc de le choisir, comme tout autre outil de production, en fonction des besoins objectifs.
Le premier critère discriminant à observer à l’occasion du choix d’un service en Cloud est la confidentialité. Par confidentialité, on entend ici la possibilité où non pour des utilisateurs publics d’accéder au contenu proposé par le service en Cloud. Linkedin ou Facebook constituent des offres de « Cloud public », ils ne conviennent donc pas aux professionnels qui souhaitent donner à leurs salariés la possibilité de ne partager des données qu’entre eux sans prendre aucun risque grâce à un système en « Cloud privé ».
À la marge de ces deux types de services, il existe aussi des services en Cloud hybride qui offre une certaine porosité entre un espace de partage privé et un autre public. Ces formules sont encore rares, mais elles peuvent fournir aux utilisateurs expérimentés une flexibilité d’échange et de communication qui peut être utile à certaines activités.
Le distinguo le plus porteur de sens pour le gestionnaire de projet est sans aucun doute celui entre les solutions SaaS et les solutions sur site. Les softwares as a service se sont imposés comme la formule la plus populaire auprès des entreprises, notamment parce qu’elle « permet aux entreprises de bénéficier d’un logiciel professionnel sans qu’aucune connaissance préalable ne soit nécessaire ». En effet, le SaaS relègue au prestataire toute la maintenance technique de l’infrastructure Cloud, il s’agit par ailleurs d’une offre souple, sur demande qui favorise la maîtrise des coûts. Mais le SaaS suppose un stockage distant des données, et une dépendance accrue au web et à son fournisseur d’accès à internet.
Quant aux solutions de Cloud déployées sur site, elles ont un prix d’entrée très élevé et supposent un réel investissement de départ. Mais pour peu que l’entreprise dispose de ses propres serveurs, elle peut se doter ainsi de la capacité à stocker ses données chez elle, sans être forcément dépendante d’un accès à internet. Un réseau domestique peut alors suffire à assurer la continuité des flux de donnée et la permanence de leur accessibilité depuis l’intérieur de l’entreprise.
Pour le chef d’entreprise et les gestionnaires de projets, il est donc impératif d’avoir ces différences en tête avant de préférer une formule. Genius Inside invite d’ailleurs les acheteurs potentiels à se poser des questions clés qu’elles consignent dans son livre blanc : « travaillez-vous avec des équipes délocalisées ? », « votre entreprise tire-t-elle parti du Cloud aujourd’hui ? ». Les réponses à cet ensemble de questions constituent autant d’éléments sur lesquels il est indispensable de s’appuyer pour faire son choix. Car le Cloud n’est pas une technologie miracle ; ce n’est qu’un instrument optimisé de partage de document. Il convient donc de le choisir, comme tout autre outil de production, en fonction des besoins objectifs.