Cela faisait depuis le mois d'avril dernier que la commission "Innovation 2030" et Anne Lauvergeon à sa tête, planchaient sur la nature des innovations majeures pour la France, des innovations dites "de rupture".
Ce sont finalement sept grandes ambitions qui ont été retenues par la commission. Le stockage de l'énergie et le recyclage, la valorisation des richesses marines, les protéines végétales et la chimie du végétal, la médecine individualisée, la "silver économie" et la valorisation des données informatiques massives dites "Big Data".
Dans la foulée de la remise de ce rapport, François Hollande, en déplacement dans une start-up de Nanterre, Ennesys, a notamment déclaré : "l'innovation est la condition de la croissance, de la création de richesse, mais également de l'amélioration de notre bien-être".
Interrogée sur France Info, Anne Lauvergeon a justifié ce rapport en affirmant que "notre propos va même au-delà de l'industrie, c'est à dire comment imaginer, comment créer, comment développer une France qui innove, une France qui va de l'avant".
Reconnaissant que la concurrence mondiale en la matière est rude, Anne Lauvergeon estime que la France a de solides atouts sur le sujet, mais que ces atouts restent à être développés. En clair, il faut viser l'excellence.
Reste que pour viser l'excellence, il faut se débarrasser de certains handicaps. Le rapport pointe notamment une fiscalité pesante sur les entreprises, des contraintes règlementaires, une conjoncture morose et une certaine frilosité à se lancer dans le grand bain de l'innovation. Aux politiques donc de transformer l'essai…
Enfin Anne Lauvergeon a déclaré que ce rapport restait dans la droite ligne des 34 plans pour la décennie à venir d'Arnaud Montebourg, et de sa "nouvelle France industrielle". Pas de couac sur le sujet, ni d'incohérence. Cette fois-ci, les différentes têtes de l'exécutif vont dans le même sens.
Ce sont finalement sept grandes ambitions qui ont été retenues par la commission. Le stockage de l'énergie et le recyclage, la valorisation des richesses marines, les protéines végétales et la chimie du végétal, la médecine individualisée, la "silver économie" et la valorisation des données informatiques massives dites "Big Data".
Dans la foulée de la remise de ce rapport, François Hollande, en déplacement dans une start-up de Nanterre, Ennesys, a notamment déclaré : "l'innovation est la condition de la croissance, de la création de richesse, mais également de l'amélioration de notre bien-être".
Interrogée sur France Info, Anne Lauvergeon a justifié ce rapport en affirmant que "notre propos va même au-delà de l'industrie, c'est à dire comment imaginer, comment créer, comment développer une France qui innove, une France qui va de l'avant".
Reconnaissant que la concurrence mondiale en la matière est rude, Anne Lauvergeon estime que la France a de solides atouts sur le sujet, mais que ces atouts restent à être développés. En clair, il faut viser l'excellence.
Reste que pour viser l'excellence, il faut se débarrasser de certains handicaps. Le rapport pointe notamment une fiscalité pesante sur les entreprises, des contraintes règlementaires, une conjoncture morose et une certaine frilosité à se lancer dans le grand bain de l'innovation. Aux politiques donc de transformer l'essai…
Enfin Anne Lauvergeon a déclaré que ce rapport restait dans la droite ligne des 34 plans pour la décennie à venir d'Arnaud Montebourg, et de sa "nouvelle France industrielle". Pas de couac sur le sujet, ni d'incohérence. Cette fois-ci, les différentes têtes de l'exécutif vont dans le même sens.