Les forces spéciales ont un modus operandi dont pourraient s'inspirer les entreprises.
Pour lui tout d'abord, une opération réussie est une opération préparée. Olivier Crosetta déclare à ce sujet que la préparation d'une action de quelques heures seulement peut prendre plusieurs semaines. Il faut avoir le sens du détail, de l'organisation, envisager toutes les situations. Il en va de la sécurité des hommes, du matériel et de la réussite de la mission.
Or, par manque de temps aujourd'hui, il est vrai que les entreprises délaissent l'aspect préparation pour se concentrer sur l'action, parfois en se jettent tête baissée, au risque de commettre de nombreuses erreurs qui peuvent être fatales au bon déroulement de l'opération. Car, c'est bien connu, un plan ne se déroule jamais comme prévu. Et ce n'est pas Hannibal, l'un des héros de l'Agence tout risque qui contredira cela.
Il faudra ensuite suivre un cap avec exactitude. Sinon, gare à la chute. Il faut pour cela trouver un juste équilibre nous dit Olivier Crosetta. Suivre son plan de trop près empêchera d'analyser une situation globale, et de prendre en considération la réalité du terrain environnant. Or il faut parfois savoir s'éloigner du plan initial pour mieux s'adapter. Or parfois certaines entreprises collent à tout prix à l'objectif donné, sans prendre en compte la modification de tel ou tel facteur.
Tout cela n'est évidemment possible que si les troupes sont motivées poursuit Olivier Crosetta. On pourra discourer sur la différence de l'engagement entre un militaire et un employé d'entreprise. Cependant la différence majeure entre ces deux organismes est que l'armée inculque le sens de l'engagement là où l'entreprise ne le fait pas forcément.
Il n'est pas nécessaire d'être engagé à fond dans le service de la nation pour rentrer dans l'armée contrairement aux idées reçues. D'où l'importance d'une certaine cohérence dans les propos tenus, dans les valeurs érigées par une entreprise, et qu'il faut respecter.
Enfin et surtout, débriefer. Ce n'est pas dans les habitudes des entreprises de faire un point sur une action commerciale menée à bien. C'est un manque à gagner considérable pour les entreprises, pour cet ancien officier de Légion. Car même si tout s'est déroulé comme il faut, il faut savoir faire le point sur le pourquoi du comment, sur les éventuelles erreurs, et surtout s'orienter vers l'avenir. Tant de raisons d'opter pour un management de type "special ops" !
Or, par manque de temps aujourd'hui, il est vrai que les entreprises délaissent l'aspect préparation pour se concentrer sur l'action, parfois en se jettent tête baissée, au risque de commettre de nombreuses erreurs qui peuvent être fatales au bon déroulement de l'opération. Car, c'est bien connu, un plan ne se déroule jamais comme prévu. Et ce n'est pas Hannibal, l'un des héros de l'Agence tout risque qui contredira cela.
Il faudra ensuite suivre un cap avec exactitude. Sinon, gare à la chute. Il faut pour cela trouver un juste équilibre nous dit Olivier Crosetta. Suivre son plan de trop près empêchera d'analyser une situation globale, et de prendre en considération la réalité du terrain environnant. Or il faut parfois savoir s'éloigner du plan initial pour mieux s'adapter. Or parfois certaines entreprises collent à tout prix à l'objectif donné, sans prendre en compte la modification de tel ou tel facteur.
Tout cela n'est évidemment possible que si les troupes sont motivées poursuit Olivier Crosetta. On pourra discourer sur la différence de l'engagement entre un militaire et un employé d'entreprise. Cependant la différence majeure entre ces deux organismes est que l'armée inculque le sens de l'engagement là où l'entreprise ne le fait pas forcément.
Il n'est pas nécessaire d'être engagé à fond dans le service de la nation pour rentrer dans l'armée contrairement aux idées reçues. D'où l'importance d'une certaine cohérence dans les propos tenus, dans les valeurs érigées par une entreprise, et qu'il faut respecter.
Enfin et surtout, débriefer. Ce n'est pas dans les habitudes des entreprises de faire un point sur une action commerciale menée à bien. C'est un manque à gagner considérable pour les entreprises, pour cet ancien officier de Légion. Car même si tout s'est déroulé comme il faut, il faut savoir faire le point sur le pourquoi du comment, sur les éventuelles erreurs, et surtout s'orienter vers l'avenir. Tant de raisons d'opter pour un management de type "special ops" !