L’an dernier, 384 244 ruptures conventionnelles ont été signées. C’est 25 000 de plus qu’en 2014, un signe que ce mécanisme, mis en place en 2008 par le gouvernement de François Fillon, rencontre l’agrément des entreprises et des salariés.
Dans le détail, le nombre de ces ruptures a atteint un record en juillet 2015, avec 35 849 homologations. Un chiffre proche de celui enregistré en décembre dernier (35 599 ruptures homologuées). En moyenne sur l’année, on a compté 29 854 ruptures homologuées.
Une moyenne qui ne cesse d’augmenter depuis 2009, où elle tournait à 15 900 ruptures mensuelles ; en 2012, le ministère du Travail en comptabilisait 26 700. La progression n’a pas cessé, même si la hausse est moins prononcée.
Ces ruptures conventionnelles sont un moyen de cesser un CDI d’un commun accord, tout en permettant au salarié de bénéficier des indemnités de l’assurance chômage. Malgré ce succès, certains syndicats estiment qu’il s’agit d’un moyen pour les entreprises de faire signer des « préretraites déguisées ». FO réclame ainsi la mise en place d’une taxe pour les employeurs se séparant d’un senior de cette manière.
Dans le détail, le nombre de ces ruptures a atteint un record en juillet 2015, avec 35 849 homologations. Un chiffre proche de celui enregistré en décembre dernier (35 599 ruptures homologuées). En moyenne sur l’année, on a compté 29 854 ruptures homologuées.
Une moyenne qui ne cesse d’augmenter depuis 2009, où elle tournait à 15 900 ruptures mensuelles ; en 2012, le ministère du Travail en comptabilisait 26 700. La progression n’a pas cessé, même si la hausse est moins prononcée.
Ces ruptures conventionnelles sont un moyen de cesser un CDI d’un commun accord, tout en permettant au salarié de bénéficier des indemnités de l’assurance chômage. Malgré ce succès, certains syndicats estiment qu’il s’agit d’un moyen pour les entreprises de faire signer des « préretraites déguisées ». FO réclame ainsi la mise en place d’une taxe pour les employeurs se séparant d’un senior de cette manière.