La réceptivité de l’homme au récit fait partie intégrante de son mode de pensée. Des épopées homériques, aux comtes de Tolkien la narration s’impose comme un formidable facilitateur de communication entre les hommes, leur permettant de s’identifier, d’assimiler et de convaincre plus facilement. En ce sens, le storytelling, compris comme une méthode d’élaboration d’un message de forme narrative, est tout naturellement devenu un outil marketing et publicitaire prisé.
Les plus grands succès marketing contemporains font en effet l’usage du récit pour publiciser leurs produits. En effet, IBM, Google, Microsoft ou encore Mc Donald’s se servent notamment de la publicité de façon intensive pour développer leur image et leur histoire, tant à partir d’élément réel et factuel que d’insertion purement fictive. Quand bien même faire la promotion d’un soda allégé avec un scénario mettant en scène une panne d’essence pourrait paraître tiré par les cheveux, il s’avère aujourd’hui difficile de contester l’efficacité du procédé : Coca-Cola n’est-elle pas la marque la plus chère au monde d’après le fameux classement des meilleures marques mondiales édité chaque année par l’Agence Interbrand ?
Aussi impressionnantes ces performances soient-elles, l’utilisation du storytelling a des fins publicitaires n’en reste pas moins pratiquée et praticable par tous. La narration peut s’articuler de différente façon et sa souplesse d’utilisation laisse le champ libre à la créativité du publicitaire. Ainsi l’histoire peut-elle racontée par l’entreprise directement ou bien par ses clients. Une démarche marketing reposant sur le storytelling cherchera par ailleurs à déterminer un personnage pour représenter l’annonceur, sa marque ou son produit. Confronté à une alternative ou une situation de défis, le personnage et son attitude font l'illustration des qualités de l’annonceur.
Si la recette d’un storytelling élémentaire est assez bien identifiée, c’est en la déclinant subtilement d’innombrables façons et à une infinité d’échelles différentes que les meilleurs publicitaires se distinguent en la matière. L’utilisation du storytelling peut en effet atteindre un tel degré de sophistication qu’il en résulte l’apparition de véritable mythe marketing. À l’image des mascottes publicitaires de la boisson Oasis – dont les apparitions sont autant d’épisodes d’une aventure sans cesse renouvelée –, le storytelling confère un avantage inestimable à l’annonceur : celui de fidéliser la clientèle en captant son intérêt autant pour la fiction qui lui est proposée que pour le concept ainsi promu.
En matière de marketing et de promotion, le storytelling s’apparente à un outil dont l’efficacité a été prouvée par des entreprises vieilles de plusieurs générations. Particulièrement adapté aux dynamiques de partage qui irriguent le web social, le récit est aujourd’hui plus que jamais susceptible de contribuer aux efforts des entreprises positionnées sur des marchés de masse. Car les consommateurs potentiels ne sont désormais plus seulement accessibles qu’à travers leur poste de télévision ou les pages d’un magasine, mais à tout moment grâce à la combinaison d’internet des ordinateurs et des téléphones portables.
Les plus grands succès marketing contemporains font en effet l’usage du récit pour publiciser leurs produits. En effet, IBM, Google, Microsoft ou encore Mc Donald’s se servent notamment de la publicité de façon intensive pour développer leur image et leur histoire, tant à partir d’élément réel et factuel que d’insertion purement fictive. Quand bien même faire la promotion d’un soda allégé avec un scénario mettant en scène une panne d’essence pourrait paraître tiré par les cheveux, il s’avère aujourd’hui difficile de contester l’efficacité du procédé : Coca-Cola n’est-elle pas la marque la plus chère au monde d’après le fameux classement des meilleures marques mondiales édité chaque année par l’Agence Interbrand ?
Aussi impressionnantes ces performances soient-elles, l’utilisation du storytelling a des fins publicitaires n’en reste pas moins pratiquée et praticable par tous. La narration peut s’articuler de différente façon et sa souplesse d’utilisation laisse le champ libre à la créativité du publicitaire. Ainsi l’histoire peut-elle racontée par l’entreprise directement ou bien par ses clients. Une démarche marketing reposant sur le storytelling cherchera par ailleurs à déterminer un personnage pour représenter l’annonceur, sa marque ou son produit. Confronté à une alternative ou une situation de défis, le personnage et son attitude font l'illustration des qualités de l’annonceur.
Si la recette d’un storytelling élémentaire est assez bien identifiée, c’est en la déclinant subtilement d’innombrables façons et à une infinité d’échelles différentes que les meilleurs publicitaires se distinguent en la matière. L’utilisation du storytelling peut en effet atteindre un tel degré de sophistication qu’il en résulte l’apparition de véritable mythe marketing. À l’image des mascottes publicitaires de la boisson Oasis – dont les apparitions sont autant d’épisodes d’une aventure sans cesse renouvelée –, le storytelling confère un avantage inestimable à l’annonceur : celui de fidéliser la clientèle en captant son intérêt autant pour la fiction qui lui est proposée que pour le concept ainsi promu.
En matière de marketing et de promotion, le storytelling s’apparente à un outil dont l’efficacité a été prouvée par des entreprises vieilles de plusieurs générations. Particulièrement adapté aux dynamiques de partage qui irriguent le web social, le récit est aujourd’hui plus que jamais susceptible de contribuer aux efforts des entreprises positionnées sur des marchés de masse. Car les consommateurs potentiels ne sont désormais plus seulement accessibles qu’à travers leur poste de télévision ou les pages d’un magasine, mais à tout moment grâce à la combinaison d’internet des ordinateurs et des téléphones portables.