cc/flickr/FIDH
Selon l’étude relayée par le journal le Figaro le 23 février 2014, près de 75% des personnes interrogées seraient conscientes de véhiculer des stéréotypes concernant son sexe ou le sexe opposé. Cela entraînerait des difficultés d’adaptation et des problèmes au niveau de la mixité sociale en entreprises, surtout au niveau d’entreprises culturellement associées à une certaine typologie de personnes.
En effet, pour 67% des interviewés, les femmes ne seraient que « difficilement » en mesure de faire une carrière dans le domaine des BTP tandis que 62% des sondés estiment que les femmes seraient plus « facilement » concernées par une carrière au sein de l’industrie du luxe ou bien de l’habillement. De même, toujours selon l’étude relayée par le Figaro, le métier de garagiste serait un métier mieux adapté aux hommes et celui de sage-femme un métier destiné aux femmes.
Par ailleurs, il ressort de certains stéréotypes qu’ils sont à double tranchant, montrant par-là les paradoxes de ce type d’idées reçues. C’est le cas du stéréotype qui accorde aux femmes de l’empathie et une facilité de communication. Si ce sont là des qualités pour être un leader, elles sont détournées pour dire qu’une femme « n’a pas d’autorité » et « est émotive », des défauts pour ce même poste de leader.
Les stéréotypes semblent donc avoir la vie dure en entreprise mais les mentalités commenceraient à changer selon le cercle InterElles. Une chose positive si l’on pense que 48% des interviewés estiment que la mixité est positive pour une entreprise.
En effet, pour 67% des interviewés, les femmes ne seraient que « difficilement » en mesure de faire une carrière dans le domaine des BTP tandis que 62% des sondés estiment que les femmes seraient plus « facilement » concernées par une carrière au sein de l’industrie du luxe ou bien de l’habillement. De même, toujours selon l’étude relayée par le Figaro, le métier de garagiste serait un métier mieux adapté aux hommes et celui de sage-femme un métier destiné aux femmes.
Par ailleurs, il ressort de certains stéréotypes qu’ils sont à double tranchant, montrant par-là les paradoxes de ce type d’idées reçues. C’est le cas du stéréotype qui accorde aux femmes de l’empathie et une facilité de communication. Si ce sont là des qualités pour être un leader, elles sont détournées pour dire qu’une femme « n’a pas d’autorité » et « est émotive », des défauts pour ce même poste de leader.
Les stéréotypes semblent donc avoir la vie dure en entreprise mais les mentalités commenceraient à changer selon le cercle InterElles. Une chose positive si l’on pense que 48% des interviewés estiment que la mixité est positive pour une entreprise.