(c) Shutterstock/EconomieMatin
En Europe, chaque pays a ses particularités. Ainsi, aux Pays-Bas et en Suède, les employés de bureau s'adonnent aux joies du « desk-sharing », cette tendance où l'on partage et échange les espaces de travail, parfois d'un jour sur l'autre. 21% des employés suédois n'ont ainsi aucun bureau à leur disposition !
En France, la situation est bien différente. 33% des employés disposent d'un bureau attitré. Il semble bien que les salariés français soient particulièrement attachés à un espace qui leur est propre; pas question de partager quoi que ce soit avec les collègues !
Autre particularité bien française : l'attachement à la localisation géographique du lieu de travail. Le baromètre Actineo montre que 33% des interrogés hexagonaux intègrent cet aspect spécifique, qui fait partie de la qualité de vie (pour les suédois, c'est le bruit qui importe pour 51% des sondés).
Les Français se montrent attachés à une certaine rigidité dans la manière dont ils travaillent au quotidien. Ils sont également moins enclins à partager et à coopérer avec leurs collègues, préférant conserver leur parcelle de pouvoir plutôt que d'essayer de faire mieux avec d'autres. Si l'on peut comprendre ces réticences, il est dommage de rester ainsi dans son coin !
En France, la situation est bien différente. 33% des employés disposent d'un bureau attitré. Il semble bien que les salariés français soient particulièrement attachés à un espace qui leur est propre; pas question de partager quoi que ce soit avec les collègues !
Autre particularité bien française : l'attachement à la localisation géographique du lieu de travail. Le baromètre Actineo montre que 33% des interrogés hexagonaux intègrent cet aspect spécifique, qui fait partie de la qualité de vie (pour les suédois, c'est le bruit qui importe pour 51% des sondés).
Les Français se montrent attachés à une certaine rigidité dans la manière dont ils travaillent au quotidien. Ils sont également moins enclins à partager et à coopérer avec leurs collègues, préférant conserver leur parcelle de pouvoir plutôt que d'essayer de faire mieux avec d'autres. Si l'on peut comprendre ces réticences, il est dommage de rester ainsi dans son coin !