Cette enquête montre que pour 67% des hommes et, plus étonnant peut-être, 61% des femmes ont une préférence masculine pour leurs chefs. Les compétences attribuées aux dirigeants restent donc l'apanage des hommes : leadership, autorité, charisme ou encore pouvoir seraient donc considérés comme des attributs masculins !
Pour le Figaro, le groupe Randstat nuance toutefois les enseignements de cette enquête, qui sont à mettre en perspective avec le nombre faible des femmes managers. De plus, celles qui parviennent au sommet de la hiérarchie ont dû « emprunter » les attributs et les codes de management habituellement prêtés aux hommes. Il ne s'agirait donc que d'une affaire d'habitude ! Si les salariés pensent que seuls les hommes peuvent les diriger, c'est qu'ils n'ont pas souvent l'occasion de voir des femmes à l'œuvre dans les postes à responsabilité.
La moyenne dans les pays visés est de 71% pour les hommes et 58% pour les femmes. Avec des disparités importantes : ainsi, en Grèce, 77% des femmes préfèrent être managées par des hommes, tout comme dans une partie de l'Asie (Japon, Hong Kong). À l'inverse, c'est en Suède que les choses s'améliorent, puisque 44% des hommes seulement voudraient une gestion féminine.
Pour le Figaro, le groupe Randstat nuance toutefois les enseignements de cette enquête, qui sont à mettre en perspective avec le nombre faible des femmes managers. De plus, celles qui parviennent au sommet de la hiérarchie ont dû « emprunter » les attributs et les codes de management habituellement prêtés aux hommes. Il ne s'agirait donc que d'une affaire d'habitude ! Si les salariés pensent que seuls les hommes peuvent les diriger, c'est qu'ils n'ont pas souvent l'occasion de voir des femmes à l'œuvre dans les postes à responsabilité.
La moyenne dans les pays visés est de 71% pour les hommes et 58% pour les femmes. Avec des disparités importantes : ainsi, en Grèce, 77% des femmes préfèrent être managées par des hommes, tout comme dans une partie de l'Asie (Japon, Hong Kong). À l'inverse, c'est en Suède que les choses s'améliorent, puisque 44% des hommes seulement voudraient une gestion féminine.