cc/flickr/ zubrow
C’est une étude du cabinet de conseil Strategy& qui met en évidence cette différence méconnue. Non seulement les femmes à la tête d’une entreprise sont largement minoritaires dans le panorama mondial (selon l’étude elles devraient représenter un tiers des chefs d’entreprise d’ici à 2040), mais elles sont plus facilement remplacées.
Dans le détail, 38% des femmes à la tête de grandes entreprises durant les 10 dernières années ont été remerciées sans que cela ait été prévu à l’avance ou que cela ait découlé d’une acquisition par une autre entreprise. La même situation ne s’est présentée que pour 27% des hommes.
En cause, selon le cabinet, ce seraient les résultats inférieurs obtenus par les femmes par rapport aux hommes. De quoi laisser penser que les femmes sont moins efficaces… or il n’en est rien : les femmes seraient, selon une étude de 2012, 26% plus efficaces de leurs homologues masculins. Le problème viendrait donc d’ailleurs.
Le cabinet Strategy& met en évidence une possible source du problème : le mode de recrutement des PDG femmes. Les entreprises auraient en effet tendance à recruter leurs PDG femmes à l’extérieur et non en interne. C’est le cas de 35% des femmes chef d’entreprise par rapport à 22% des hommes.
Ce recrutement en externe entraîne une possible méconnaissance de l’entreprise, de ses points forts et de ses points faibles, ainsi qu’une difficulté à faire respecter ses décisions, difficulté accentuée par le côté machiste encore très présent dans le monde des affaires.
Dans le détail, 38% des femmes à la tête de grandes entreprises durant les 10 dernières années ont été remerciées sans que cela ait été prévu à l’avance ou que cela ait découlé d’une acquisition par une autre entreprise. La même situation ne s’est présentée que pour 27% des hommes.
En cause, selon le cabinet, ce seraient les résultats inférieurs obtenus par les femmes par rapport aux hommes. De quoi laisser penser que les femmes sont moins efficaces… or il n’en est rien : les femmes seraient, selon une étude de 2012, 26% plus efficaces de leurs homologues masculins. Le problème viendrait donc d’ailleurs.
Le cabinet Strategy& met en évidence une possible source du problème : le mode de recrutement des PDG femmes. Les entreprises auraient en effet tendance à recruter leurs PDG femmes à l’extérieur et non en interne. C’est le cas de 35% des femmes chef d’entreprise par rapport à 22% des hommes.
Ce recrutement en externe entraîne une possible méconnaissance de l’entreprise, de ses points forts et de ses points faibles, ainsi qu’une difficulté à faire respecter ses décisions, difficulté accentuée par le côté machiste encore très présent dans le monde des affaires.