Les compétences numériques de base, une exigence persistante
La maîtrise des outils informatiques élémentaires, tels que le pack Office, reste une demande récurrente sur le marché de l’emploi français. Selon une étude de la plateforme de recrutement Indeed, ces compétences numériques de base sont mentionnées dans 13% des annonces, reflétant leur caractère indispensable dans de nombreux secteurs. Ce phénomène démontre que, malgré la digitalisation croissante, un certain nombre de candidats semblent encore manquer de ces savoir-faire essentiels.
Cependant, la demande en compétences spécifiques progresse dans certains domaines. Par exemple, des secteurs comme la banque, la finance ou les ressources humaines connaissent une hausse notable des offres demandant des savoir-faire techniques précis. Cette tendance illustre une évolution graduelle des attentes des recruteurs, même si elle reste limitée à des niches professionnelles.
Cependant, la demande en compétences spécifiques progresse dans certains domaines. Par exemple, des secteurs comme la banque, la finance ou les ressources humaines connaissent une hausse notable des offres demandant des savoir-faire techniques précis. Cette tendance illustre une évolution graduelle des attentes des recruteurs, même si elle reste limitée à des niches professionnelles.
Les compétences avancées : recherchées mais de moins en moins présentes
Dans les métiers très techniques, les offres d’emploi continuent de mentionner des compétences spécifiques et avancées. Les annonces liées au développement informatique intègrent en moyenne cinq compétences techniques, tandis que d’autres domaines, tels que les mathématiques ou l’administration réseau, en exigent généralement une ou deux. Cette diversité de demandes témoigne d’une reconnaissance des recruteurs pour des profils qualifiés dans des technologies de pointe.
Cependant, le nombre de ces offres diminue. Les emplois exigeant plusieurs compétences avancées, comme le développement ou l’ingénierie industrielle, ont chuté de 4% par rapport à leur niveau prépandémique. En parallèle, les segments faiblement et moyennement techniques enregistrent des croissances respectives de 59% et 20%, confirmant une dynamique où les qualifications pointues semblent moins valorisées en volume.
Ces tendances traduisent une réalité complexe : alors que la transformation numérique s’accélère, les entreprises peinent à trouver un équilibre entre la valorisation des compétences fondamentales et l’intégration de profils hautement qualifiés.
Cependant, le nombre de ces offres diminue. Les emplois exigeant plusieurs compétences avancées, comme le développement ou l’ingénierie industrielle, ont chuté de 4% par rapport à leur niveau prépandémique. En parallèle, les segments faiblement et moyennement techniques enregistrent des croissances respectives de 59% et 20%, confirmant une dynamique où les qualifications pointues semblent moins valorisées en volume.
Ces tendances traduisent une réalité complexe : alors que la transformation numérique s’accélère, les entreprises peinent à trouver un équilibre entre la valorisation des compétences fondamentales et l’intégration de profils hautement qualifiés.