Entreprise
Il est possible de concilier professionnalisme et convivialité. C’est tout l’objet du repas d’affaires. Et pourtant, la réussite de ce type de rencontre dépend de la capacité des interlocuteurs à savoir jongler subtilement entre les codes formels et informels. Le repas d’affaires est avant tout une mise à l’épreuve de la fibre sociale du négociateur, mais c’est aussi une formidable opportunité de connaître son partenaire d’affaires.
Tout l’intérêt du repas d’affaires est de permettre une rencontre professionnelle dans un contexte positif, et donc propice à l’échange. Un déjeuner au restaurant est ainsi tout particulièrement approprié quand il s’agit d’essayer développer une relation avec un partenaire stratégique, en lui faisant une proposition par exemple. Le repas d’affaires peut également servir au rapprochement de deux collaborateurs au sein d’une même structure. Mais si l’objet de ce type de rencontres ne doit pas être masqué, de pareils déjeuners n’ont pour autant pas vocation à s’en tenir strictement à la question professionnelle.
D’aucuns recommandent d’ailleurs d’éviter de rentrer immédiatement dans le vif du sujet. Pour mettre l’interlocuteur à l’aise, l’on s’adapte à son rythme et l’on créé une atmosphère de décontraction. Les sujets culturels et sportifs constituent une excellente entrée en matière avant d’entamer la négociation, et surtout ces conversations donnent l’occasion d’en apprendre beaucoup sur l’invité. Il faut lui laisser le temps de s’exprimer, car malgré les apparences, de tels échanges n’ont rien d’anodin : ils rapprochent de l’interlocuteur et préparent la négociation du jour et même celles à venir ultérieurement.
Un repas d’affaires n’est toutefois pas une simple invitation au badinage. Dès lors que la conversation a eu le temps de s’installer entre deux interlocuteurs, il est nécessaire de savoir en orienter le fil vers le sujet qui constitue l’ordre du jour. Un talent de présentateur est alors nécessaire. Que l’on présente un projet où que l’on vienne s’informer, toute discussion professionnelle au restaurant impose de se débrouiller sans support. Un bon pitch et une bonne capacité d’écoute sont donc les meilleurs atouts de celui qui s’apprête à partager sa table avec un professionnel.
À la marge de ces quelques spécificités techniques, on notera enfin qu’il est souhaitable d’observer en une telle occasion, les mêmes règles de courtoisie qui font le succès d’une rencontre amicale ou familiale. Connaître le lieu de travail de l’invité, ses goûts en matière culinaire, et faire son choix en fonction de cela est un principe élémentaire dont nul ne saurait s’affranchir. Par ailleurs, un environnement calme est plus propice à la conversation qu’un lieu bondé. Celui qui invite associe également de facto son image à l’adresse choisie ; pour éviter les mauvaises surprises, il peut être judicieux de tester un restaurant avant d’y jouer un éventuel contrat. Le repas d’affaires transforme l’échange professionnel et la négociation une expérience favorable au partage. Il appartient donc à son organisateur de savoir en créer les conditions.
Tout l’intérêt du repas d’affaires est de permettre une rencontre professionnelle dans un contexte positif, et donc propice à l’échange. Un déjeuner au restaurant est ainsi tout particulièrement approprié quand il s’agit d’essayer développer une relation avec un partenaire stratégique, en lui faisant une proposition par exemple. Le repas d’affaires peut également servir au rapprochement de deux collaborateurs au sein d’une même structure. Mais si l’objet de ce type de rencontres ne doit pas être masqué, de pareils déjeuners n’ont pour autant pas vocation à s’en tenir strictement à la question professionnelle.
D’aucuns recommandent d’ailleurs d’éviter de rentrer immédiatement dans le vif du sujet. Pour mettre l’interlocuteur à l’aise, l’on s’adapte à son rythme et l’on créé une atmosphère de décontraction. Les sujets culturels et sportifs constituent une excellente entrée en matière avant d’entamer la négociation, et surtout ces conversations donnent l’occasion d’en apprendre beaucoup sur l’invité. Il faut lui laisser le temps de s’exprimer, car malgré les apparences, de tels échanges n’ont rien d’anodin : ils rapprochent de l’interlocuteur et préparent la négociation du jour et même celles à venir ultérieurement.
Un repas d’affaires n’est toutefois pas une simple invitation au badinage. Dès lors que la conversation a eu le temps de s’installer entre deux interlocuteurs, il est nécessaire de savoir en orienter le fil vers le sujet qui constitue l’ordre du jour. Un talent de présentateur est alors nécessaire. Que l’on présente un projet où que l’on vienne s’informer, toute discussion professionnelle au restaurant impose de se débrouiller sans support. Un bon pitch et une bonne capacité d’écoute sont donc les meilleurs atouts de celui qui s’apprête à partager sa table avec un professionnel.
À la marge de ces quelques spécificités techniques, on notera enfin qu’il est souhaitable d’observer en une telle occasion, les mêmes règles de courtoisie qui font le succès d’une rencontre amicale ou familiale. Connaître le lieu de travail de l’invité, ses goûts en matière culinaire, et faire son choix en fonction de cela est un principe élémentaire dont nul ne saurait s’affranchir. Par ailleurs, un environnement calme est plus propice à la conversation qu’un lieu bondé. Celui qui invite associe également de facto son image à l’adresse choisie ; pour éviter les mauvaises surprises, il peut être judicieux de tester un restaurant avant d’y jouer un éventuel contrat. Le repas d’affaires transforme l’échange professionnel et la négociation une expérience favorable au partage. Il appartient donc à son organisateur de savoir en créer les conditions.
