Instrument libérateur de la créativité, le rapport d’étonnement répond à un principe simple : il s’agit de permettre à tout salarié de faire remonter aux instances de décisions des impressions ou des détails susceptibles d’intéresser l’activité de l’entreprise. Au Japon, ce type de rapport est une pratique courante et la plupart du temps généralisée à l’ensemble de l’entreprise. Ils tendent ainsi à être systématiques notamment au retour d’un salarié parti à l’étranger ou, pour des raisons plus évidentes encore, à l’occasion d’une visite de site – comme un salon professionnel –.
En France, le rapport d’étonnement est plus fréquemment réservé aux salariés nouvellement recrutés. Il est en effet bien souvent envisagé comme un outil d’intégration des nouveaux collaborateurs. Ainsi n’est-il pas rare dans les grandes entreprises que les nouveaux entrants se voient proposer de rédiger un tel rapport au cours des trois premiers mois suivant leur prise de fonction. Ce type de rapport est généralement exposé à la hiérarchie et constitue donc une occasion pour le recruté de se faire connaître à travers une première contribution à l’entreprise.
Mais au-delà de cette seule fonction intégratice, le rapport d’étonnement est aussi un moyen de promouvoir l’innovation. L’extension du dispositif à l’ensemble des collaborateurs indépendamment de leur profil constitue en ce sens une démarche indiquée. Du salarié chevronné attaché à l'entreprise à la jeune recrue faisant preuve d’une certaine neutralité à son égard, le rapport d’étonnement permet à tous de partager des idées valorisantes. Ils permettent ainsi aux employés d’exploiter leur créativité à des fins constructives pour l’entreprise et peuvent être apparentés à une démarche d’innovation continue.
Dans l’optique d’une participation généralisée, l’anonymisation des contributions peut s’imposer comme une garantie d’égales considérations des avis et suggestions de salariés. Les entretiens annuels peuvent également être un temps pertinent pour permettre aux collaborateurs plus anciens d’exprimer leur recommandation dans le cadre d’un rapport d’étonnement facultatif.
Le rapport d’étonnement s’apparente à une démarche transversale permettant d’inclure l’ensemble des collaborateurs dans la démarche d’innovation. Cette pratique constitue en ce sens un moyen d’innover au quotidien et un outil facilement intégré à une démarche de performance plus large comme les démarches LEAN. Sur le plan humain enfin, le rapport d’étonnement et un moyen efficace de valoriser les salariés et de réaffirmer les qualités d’écoute et de réactivité de l’entreprise et de sa direction : l’avis des employés peut en effet révéler des asymétries de perception utile à un meilleur management et constituer ainsi un indicateur de l’efficacité de certaines politiques internes. L’utilité du rapport d’étonnement dans un contexte routinier est donc tout à fait palpable.
En France, le rapport d’étonnement est plus fréquemment réservé aux salariés nouvellement recrutés. Il est en effet bien souvent envisagé comme un outil d’intégration des nouveaux collaborateurs. Ainsi n’est-il pas rare dans les grandes entreprises que les nouveaux entrants se voient proposer de rédiger un tel rapport au cours des trois premiers mois suivant leur prise de fonction. Ce type de rapport est généralement exposé à la hiérarchie et constitue donc une occasion pour le recruté de se faire connaître à travers une première contribution à l’entreprise.
Mais au-delà de cette seule fonction intégratice, le rapport d’étonnement est aussi un moyen de promouvoir l’innovation. L’extension du dispositif à l’ensemble des collaborateurs indépendamment de leur profil constitue en ce sens une démarche indiquée. Du salarié chevronné attaché à l'entreprise à la jeune recrue faisant preuve d’une certaine neutralité à son égard, le rapport d’étonnement permet à tous de partager des idées valorisantes. Ils permettent ainsi aux employés d’exploiter leur créativité à des fins constructives pour l’entreprise et peuvent être apparentés à une démarche d’innovation continue.
Dans l’optique d’une participation généralisée, l’anonymisation des contributions peut s’imposer comme une garantie d’égales considérations des avis et suggestions de salariés. Les entretiens annuels peuvent également être un temps pertinent pour permettre aux collaborateurs plus anciens d’exprimer leur recommandation dans le cadre d’un rapport d’étonnement facultatif.
Le rapport d’étonnement s’apparente à une démarche transversale permettant d’inclure l’ensemble des collaborateurs dans la démarche d’innovation. Cette pratique constitue en ce sens un moyen d’innover au quotidien et un outil facilement intégré à une démarche de performance plus large comme les démarches LEAN. Sur le plan humain enfin, le rapport d’étonnement et un moyen efficace de valoriser les salariés et de réaffirmer les qualités d’écoute et de réactivité de l’entreprise et de sa direction : l’avis des employés peut en effet révéler des asymétries de perception utile à un meilleur management et constituer ainsi un indicateur de l’efficacité de certaines politiques internes. L’utilité du rapport d’étonnement dans un contexte routinier est donc tout à fait palpable.