cc/flickr/lincolnblues
La possibilité de se connecter en tout temps et en tout lieu, via notamment Internet sur les mobiles et tablettes, a entraîné un changement radical dans la manière de travailler et surtout une augmentation des heures supplémentaires réalisées à la maison. Que ce soit pour terminer un projet, recevoir un appel, faire une téléconférence ou tout simplement lire les e-mails, de plus en plus d’employés réalisent ces tâches en dehors des horaires de bureau.
Hors, jusqu’à présent, ces tâches, aussi courtes soient-elles comme le fait de tweeter quelque chose en rapport avec la société, n’étaient pas comptées dans les heures de travail. Une situation qui, chez BMW, va changer à la suite des pressions du syndicat des métallurgistes allemands, IgMetall, l’un des plus influents du monde.
L’entreprise va mettre en place un système de décompte de la moindre petite tâche réalisée en dehors des heures de bureau. Ce temps sera alors capitalisé par les employés qui pourront le déduire de leurs horaires habituels. Ainsi, au final, le temps de travail hebdomadaire sera toujours le même mais un employé qui aura réalisé 10 heures de travail en plus lors d’une semaine chargée, par exemple, pourra faire une semaine de 30 heures par la suite pour remettre les compteurs à zéro. Et ce sans voir son salaire diminuer.
Ainsi faisant, BMW s’autorise, par exemple, à contacter un employé en dehors des heures de bureau puisque celui-ci pourra déduire ce temps de travail supplémentaire de ses heures normales. Mais avec une garantie.
Les employés auront le droit de définir avec l’entreprise des tranches horaires (heures ou journées) durant lesquelles l’entreprise ne pourra pas les contacter. BMW s’engage en effet à respecter à 100% ces horaires destinés au cadre privé.
Hors, jusqu’à présent, ces tâches, aussi courtes soient-elles comme le fait de tweeter quelque chose en rapport avec la société, n’étaient pas comptées dans les heures de travail. Une situation qui, chez BMW, va changer à la suite des pressions du syndicat des métallurgistes allemands, IgMetall, l’un des plus influents du monde.
L’entreprise va mettre en place un système de décompte de la moindre petite tâche réalisée en dehors des heures de bureau. Ce temps sera alors capitalisé par les employés qui pourront le déduire de leurs horaires habituels. Ainsi, au final, le temps de travail hebdomadaire sera toujours le même mais un employé qui aura réalisé 10 heures de travail en plus lors d’une semaine chargée, par exemple, pourra faire une semaine de 30 heures par la suite pour remettre les compteurs à zéro. Et ce sans voir son salaire diminuer.
Ainsi faisant, BMW s’autorise, par exemple, à contacter un employé en dehors des heures de bureau puisque celui-ci pourra déduire ce temps de travail supplémentaire de ses heures normales. Mais avec une garantie.
Les employés auront le droit de définir avec l’entreprise des tranches horaires (heures ou journées) durant lesquelles l’entreprise ne pourra pas les contacter. BMW s’engage en effet à respecter à 100% ces horaires destinés au cadre privé.