Shutterstock/economiematin
Mais voilà, le scandale est arrivé et dans la tourmente Volkswagen n'a pu faire autre chose que demander à son PDG de partir, ce qu'il a fait. Mais selon Bloomberg ce départ risque de s'accompagner avec un nouveau scandale : celui de ses indemnités de départ.
L'agence Bloomberg a en effet épluché les comptes de Volkswagen et découvert qu'en termes de pension accumulée Martin Winterkorn pourrait toucher près de 60 millions d'euros. De ceux –ci environ la moitié lui est garantie mais l'autre moitié est soumise à la décision du Conseil de Surveillance.
Les quelques 30 millions qui lui sont dus sont un simple cumul de ses indemnités de départ et pension diverses qui ne devraient être sujettes à aucun paramètre. A moins qu'il n'y renonce il devrait bel-et-bien les toucher.
Les 30 millions restants (grosso modo) sont deux années de salaires que le PDG de Volkswagen, l'un des patrons les mieux payés d'Allemagne, pourrait recevoir en remerciement. Là ce sera au Conseil de surveillance d'en décider puisque cette partie de sa rémunération peut lui être retirée s'il est considéré comme fautif dans l'histoire des émissions truquées.
Or Winterkorn, lors de l'annonce de sa démission, a bien précisé qu'il ne savait rien et selon des sources internes le conseil de surveillance serait enclin à la croire. Et donc à lui donner aussi ces 30 millions supplémentaires.
L'agence Bloomberg a en effet épluché les comptes de Volkswagen et découvert qu'en termes de pension accumulée Martin Winterkorn pourrait toucher près de 60 millions d'euros. De ceux –ci environ la moitié lui est garantie mais l'autre moitié est soumise à la décision du Conseil de Surveillance.
Les quelques 30 millions qui lui sont dus sont un simple cumul de ses indemnités de départ et pension diverses qui ne devraient être sujettes à aucun paramètre. A moins qu'il n'y renonce il devrait bel-et-bien les toucher.
Les 30 millions restants (grosso modo) sont deux années de salaires que le PDG de Volkswagen, l'un des patrons les mieux payés d'Allemagne, pourrait recevoir en remerciement. Là ce sera au Conseil de surveillance d'en décider puisque cette partie de sa rémunération peut lui être retirée s'il est considéré comme fautif dans l'histoire des émissions truquées.
Or Winterkorn, lors de l'annonce de sa démission, a bien précisé qu'il ne savait rien et selon des sources internes le conseil de surveillance serait enclin à la croire. Et donc à lui donner aussi ces 30 millions supplémentaires.